Le ministère de la Sécurité publique vient de publier une circulaire modifiant et complétant un certain nombre d'articles de la circulaire n° 67/2019 réglementant la mise en œuvre de la démocratie pour assurer l'ordre et la sécurité de la circulation.
La circulaire entre en vigueur à compter du 15 novembre.
Selon la nouvelle circulaire, au point c, clause 1, article 5, le contenu public de la police populaire pour assurer l'ordre et la sécurité de la circulation comprend : Des moyens techniques et des équipements pour détecter les infractions administratives conformément aux dispositions de la loi sur le traitement des infractions administratives.
Ainsi, par rapport aux réglementations précédentes, le contenu de la publicité « uniformes et numéros de police » a été supprimé.
Par ailleurs, l'article 11 modifie également les modalités de surveillance des personnes chargées de garantir l'ordre et la sécurité de la circulation. Selon les nouvelles dispositions, la surveillance des personnes s'exerce selon les modalités suivantes :
Accès aux informations publiques des forces de police et aux médias de masse ; par l'intermédiaire des entités de surveillance prévues par la loi ; contact et résolution directe du travail avec les officiers et les soldats ; résultats du traitement des cas, pétitions, plaintes, dénonciations, recommandations et réflexions ; observation directe du travail de garantie de l'ordre et de la sécurité de la circulation.
Le processus de surveillance doit garantir : Ne pas affecter les activités normales des officiers et des soldats dans l'exercice de leurs fonctions ; en dehors de la zone de service officiel, et en même temps se conformer aux autres réglementations légales pertinentes.
Ainsi, par rapport aux réglementations précédentes, la forme de surveillance par enregistrement et par dispositifs d'enregistrement vidéo a été supprimée.
Le ministère de la Sécurité publique a précédemment constaté que la surveillance exercée par certains citoyens sur les forces de police de la circulation manquait parfois d'objectivité et de conformité à la réglementation. Certains citoyens ont abusé de leur droit de surveillance pour filmer, enregistrer et photographier le travail des agents et des soldats de la police de la circulation et les partager sur les réseaux sociaux, ce qui a terni l'image des forces de police de la circulation.
En outre, l'opposition a également profité de l'incitation des citoyens à envoyer des plaintes et des dénonciations à de nombreux endroits, provoquant des complications pour les forces de l'ordre en matière d'ordre et de sécurité routière.
TH (synthèse)Source : https://baohaiduong.vn/bo-quy-dinh-nguoi-dan-duoc-giam-sat-canh-sat-giao-thong-bang-thiet-bi-ghi-am-ghi-hinh-394921.html
Comment (0)