Le ministère des Transports vient d'envoyer un document pour solliciter les commentaires des ministères, secteurs et entreprises concernés afin de finaliser le projet de « Décret réglementant l'activité des services d'inspection des véhicules automobiles et l'âge d'utilisation des véhicules automobiles ».
Ce nouveau décret remplacera de nombreux anciens documents, afin de se conformer à la loi sur l'investissement de 2020 et à la loi sur l'ordre et la sécurité de la circulation routière de 2025, stipulant que les motos et les motos sont un groupe de véhicules à moteur dont les émissions doivent être inspectées.
En conséquence, les motos doivent être certifiées conformes aux normes d'émission pour pouvoir circuler. Les stations de contrôle technique seront les lieux d'inspection, de délivrance des certificats et de délivrance des permis d'exploitation. Ces stations doivent répondre pleinement aux exigences en matière d'installations, de ressources humaines et d'organisation.
Conformément à la loi sur l'ordre et la sécurité de la circulation routière (en vigueur depuis le 1er janvier 2025), les motos et les scooters sont soumis à un contrôle des émissions.
L'une des conditions importantes concerne les exigences physiques. Plus précisément, un poste de contrôle des émissions de motos doit disposer d'une superficie minimale de 35 m². Chaque poste de contrôle doit disposer d'un espace d'au moins 6 m². Le poste doit également disposer d'espaces séparés pour le contrôle, le stationnement et les bureaux (un bureau n'est pas requis pour les postes de contrôle mobiles).
De plus, les stations doivent être équipées d'équipements de contrôle des émissions conformément au Règlement technique national sur les installations techniques publié par le ministère des Transports . Les équipements de mesure des émissions doivent être inspectés et étalonnés régulièrement afin de garantir la précision et l'efficacité des tests.
Concernant les ressources humaines, chaque station de contrôle des émissions de motos doit compter au moins un inspecteur titulaire d'un certificat d'inspection délivré par l'organisme de contrôle. Cet employé est chargé d'inspecter les véhicules et de leur délivrer les timbres de certification des émissions.
De plus, le poste d'inspection doit mettre en place un système de gestion efficace pour assurer la stabilité des opérations, mener les inspections, percevoir les frais de service et communiquer les données conformément à la réglementation. Les postes doivent assurer un fonctionnement continu au moins huit heures par jour et cinq jours par semaine afin de répondre aux besoins d'inspection de la population.
Le projet de décret définit également clairement les rôles et responsabilités des organismes de gestion. Le ministère des Transports sera chargé d'élaborer et de promulguer la réglementation relative aux tarifs des services d'inspection des émissions. Le ministère des Sciences et Technologies sera chargé de promulguer les normes relatives aux équipements de mesure des émissions et d'organiser l'inspection et l'étalonnage de ces équipements.
Au niveau provincial, le Comité populaire provincial chargera le Département des Transports de gérer la création et le fonctionnement des stations d'inspection. Le Registre vietnamien et les Départements locaux des Transports seront chargés d'inspecter, d'examiner et de traiter les infractions liées aux activités de contrôle des émissions.
Source : https://www.congluan.vn/nhung-dieu-kien-can-ve-tram-kiem-dinh-khi-thai-xe-may-theo-quy-dinh-cua-bo-giao-thong-van-tai-post314676.html
Comment (0)