Les autorités gèrent la scène du vol d'aliments fonctionnels déversés à Quang Ninh - Photo : TTO
Contrôlera du laboratoire au marché
Pour les aliments destinés à la protection de la santé, les aliments nutritionnels médicaux et les aliments destinés aux enfants de moins de 36 mois, le projet exige un contrôle strict des ingrédients, des indicateurs de querurité, de la qualité et des utilisations de la phase de recherche et de développement jusqu'à l'enregistrement et la mise sur le marché.
Auparavant, les entreprises devaient simplement s'engager à se conformer et à assumer l'entière responsabilité, ce qui a conduit à une situation où certaines unités mélangeaient intentionnellement des ingrédients qui n'avaient aucun effet réel, juste pour faire de la publicité « de manière explosive » sur l'étiquette.
Selon le ministère de la Santé , ce modèle de gestion est référencé dans des pays comme le Japon, la Corée et les États-Unis, pour empêcher l'entrée sur le marché des produits de mauvaise qualité.
En conséquence, dans le dossier d'enregistrement des produits alimentaires de protection de la santé, le ministère de la Santé a établi de nouvelles réglementations exigeantes des entreprises qu'elles rendent compte de manière claire et complète du processus de développement du produit, de manière transparente, depuis les ingrédients et les utilisations jusqu'aux preuves scientifiques connexes.
Tout d'abord, les entreprises doivent indiquer les critères qui ont motivé le choix de la formule du produit. Elles doivent donc expliquer pourquoi elles combinent ces ingrédients pour créer la fonction principale, ainsi que les ingrédients supplémentaires qui peuvent être ajoutés.
Parallèlement, des recherches sur les interactions entre ingrédients, entre ingrédients et additifs, et sur les emballages en contact direct (emballages de niveau 1) doivent également être menées et clairement rapportées.
En outre, l'ensemble du processus de test, y compris les tests internes ou les essais cliniques (le cas échéant), doit également être entièrement résumé pour prouver que le produit est et efficace avant sa mise en circulation.
Une autre exigence importante est que les entreprises expliquent en détail l'origine et les utilisations de chaque ingrédient du produit. Chaque ingrédient doit être clairement indiqué s'il est d'origine synthétique ou extrait de plantes, d'animaux, de minéraux ou de micro-organismes.
Parallèlement, les entreprises doivent expliquer précisément les effets de chaque ingrédient, les raisons de leur association dans la formule et leur contribution aux effets globaux du produit. De plus, les raisons du choix du dosage recommandé et les utilisateurs visés, tels qu'indiqués sur l'étiquette, doivent être raisonnablement justifiées, afin de protéger au maximum les intérêts des consommateurs.
Les entreprises doivent non seulement prendre des engagements, comme c'est actuellement le cas, mais aussi fournir des preuves scientifiques pour justifier les utilisations revendiquées dans leurs profils. Il peut s'agir de recherches, de documents médicaux, de publications scientifiques réputées sur chaque ingrédient ainsi que sur la formule du produit, avec les dosages appropriés.
Le projet exige également que les entreprises publient des indicateurs de qualité et des indicateurs de sécurité, conformément à la loi sur la qualité des produits et des marchandises.
Auparavant, les entreprises devaient simplement fournir des certificats de tests de sécurité, sans avoir à prouver la qualité réelle. Cette faille a conduit à ce que de nombreux produits soient présentés d'une certaine manière, mais différemment, trompant ainsi les consommateurs.
Ces exigences strictes des organismes de réglementation contribuent non seulement à renforcer la coururité des aliments fonctionnels, mais aussi à malablir la confiance des consommateurs, de plus en plus préoccupés par la qualité et la transparence des aliments de protection de la santé sur le marché.
Enregistrement obligatoire de la déclaration pour les compléments alimentaires
Le premier point fort du projet est l'obligation pour les compléments alimentaires d'enregistrer une déclaration de produit avant leur mise en circulation. Actuellement, les compléments alimentaires appartiennent encore au groupe des aliments transformés préemballés, et doivent simplement s'autodéclarer et assumer leurs responsabilités.
Cela a conduit de nombreuses entreprises à en profiter pour « contourner » la gestion, en classant leurs produits comme des compléments alimentaires afin d'éviter des exigences de contrôle plus strictes.
De plus, comme le publicitaire n'est pas obligatoire, les compléments alimentaires ont des effets exagérés, créant une confusion avec les aliments de protection de la santé. Ce projet vise à prévenir totalement ce type de fraude, en obligeant les entreprises à faire preuve de transparence, de l'annonce à la publicité, et à protéger ainsi les droits des consommateurs.
Source : https://tuoitre.vn/thuc-pham-chuc-nang-lap-lo-cong-dung-bo-y-te-se-kiem-soat-chat-luong-tu-phong-thi-nghiem-2025070411160209.htm
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