L'armée israélienne a qualifié cette nouvelle frappe aérienne de « ciblée » et a déclaré qu'elle « empêcherait toute tentative de réarmement de l'organisation terroriste Hezbollah, conformément à l'accord de cessez-le-feu ». Hier après-midi, aucune information n'était disponible sur la réponse du Hezbollah.
Une zone du sud du Liban dévastée par des affrontements entre les troupes israéliennes et le Hezbollah
Un cessez-le-feu fragile entre Israël et le Hezbollah est en vigueur depuis le 27 novembre 2024, après plus d'un an de conflit entre les deux camps. Malgré ce cessez-le-feu, Israël a continué de mener des attaques au Liban et les deux camps se sont mutuellement accusés de violer la trêve, selon l'AFP.
Dans un autre développement, le porte-parole du Hamas, Hazem Qassem, a déclaré le 6 février que l'idée du président américain Donald Trump de prendre le contrôle de la bande de Gaza et d'y relocaliser sa population était une "déclaration d'intention d'occuper" le territoire palestinien, selon l'AFP.
La proposition « choquante » de Trump sur Gaza : condamnée partout, ses subordonnés s'inquiètent de devoir s'expliquer
Le même jour, l'Égypte a averti que le soutien d'Israël à l'idée de M. Trump de relocaliser les habitants de Gaza « sape et détruit les négociations de cessez-le-feu et provoque une reprise des hostilités ».
Entre-temps, le secrétaire d'État américain Marco Rubio a déclaré le 6 février que les habitants de Gaza devraient vivre ailleurs pendant la reconstruction de Gaza, selon Reuters. M. Rubio n'a pas précisé s'ils pourraient revenir dans le cadre du plan de développement de Gaza de Trump. Gaza abrite actuellement plus de deux millions de Palestiniens.
Source : https://thanhnien.vn/israel-tan-cong-li-bang-giua-luc-co-lenh-ngung-ban-185250207221218592.htm
Comment (0)