A l'occasion du 95e anniversaire de la fondation du Parti communiste du Vietnam (3 février 1930 - 3 février 2025), juste à l'occasion du Nouvel An traditionnel des communautés vietnamienne et chinoise au Cambodge, le journaliste Khieu Kola - rédacteur en chef de la chaîne CNC TV du Royal Group, conseiller principal du président du Club des journalistes cambodgiens (CCJ) - a exprimé son impression sur le travail de lutte contre la corruption mené au Vietnam.
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| Le journaliste cambodgien Khieu Kola accorde une interview à la presse. (Source : VNA) |
Selon ce journaliste cambodgien chevronné, c'est le bon choix du Parti communiste vietnamien, qui contribue ainsi à renforcer la confiance non seulement du peuple vietnamien mais aussi des investisseurs étrangers.
Du point de vue du journaliste chevronné Kola, c'est l'ancien secrétaire général du Parti communiste vietnamien Nguyen Phu Trong, ancien rédacteur en chef du magazine Communiste et écrivain célèbre, qui a lancé cette campagne anti-corruption. M. Kola a apprécié la lecture des articles et la réflexion sur la pensée de l'ancien secrétaire général Nguyen Phu Trong, en particulier sur son dicton « il n'y a pas de zones interdites » dans la lutte contre la corruption et la négativité au Vietnam. Le journaliste chevronné Kola estime que cette affirmation a contribué à renforcer la confiance non seulement du peuple vietnamien, mais aussi des investisseurs étrangers, les incitant à continuer d'investir, de créer des emplois et de contribuer à la forte croissance de l' économie vietnamienne.
Récemment, le journaliste Khieu Kola a fréquemment participé aux émissions de commentaires et d'analyses de la chaîne CNC TV sur des sujets liés au Vietnam, notamment la lutte contre la corruption. S'adressant aux journalistes, M. Kola a indiqué qu'il venait de commenter le rôle de son successeur dans la lutte contre la corruption au Vietnam : le secrétaire général To Lam. M. Kola a suivi de près les réunions et les travaux de l'actuel secrétaire général du Parti communiste vietnamien avec les dirigeants de 63 provinces et villes du pays sur la lutte contre la corruption, en sa qualité de président du Comité central de pilotage de la lutte contre la corruption.
M. Kola a rappelé le discours du secrétaire général To Lam lors d'une conférence tenue à la fin de l'année dernière. À cette occasion, le secrétaire général To Lam avait reconnu avec franchise les difficultés auxquelles le pays était confronté et avait affirmé que pour faire du Vietnam un pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure, il était nécessaire de poursuivre résolument la lutte contre la corruption, sans interdire aucun domaine. Cette détermination du chef du Parti communiste vietnamien a profondément impressionné M. Kola. Il a déclaré : « J'apprécie beaucoup cela, car la pureté est l'arme des communistes, et non les véhicules blindés, les fusils ou les grenades. La pureté est une arme précieuse, car les citoyens de tout pays apprécient les fonctionnaires intègres. »
Par ailleurs, le journaliste cambodgien chevronné a également salué les « points positifs » de la gestion des crimes de corruption au Vietnam. Les personnes corrompues sont jugées en fonction de leur gravité, mais en tenant compte des circonstances atténuantes, plutôt que de chercher à les éliminer. Ces peines témoignent d'une certaine clémence envers ceux qui ont commis des erreurs mais se sont repentis.
Ayant travaillé pour de nombreuses agences de presse locales et internationales à Phnom Penh, la capitale, parlant couramment plusieurs langues étrangères et suivant régulièrement la presse vietnamienne, M. Kola a compris que la presse et les médias vietnamiens contribuent également de manière importante à la lutte contre la corruption. Il a exprimé son soutien à la presse vietnamienne et a affirmé qu'il poursuivrait ses analyses et commentaires sur les sujets connexes, tant que les organisations et le public lui accorderont leur confiance et leur écoute.
Évoquant le rôle du Parti communiste vietnamien, M. Kola a rappelé les paroles du président Ho Chi Minh sur les qualités de « diligence, d'économie, d'intégrité et de droiture ». Le président Ho Chi Minh est affectueusement appelé « Oncle Ho » par le peuple vietnamien. Il exigeait des cadres et des membres du parti qu'ils soient intègres afin de gagner la confiance et la participation du peuple et de réaliser l'esprit « le peuple sait, le peuple discute, le peuple agit, le peuple inspecte ».
Selon M. Kola, le Parti communiste vietnamien doit sa force à son armée et à son peuple patriotique. La lutte contre la corruption est le choix qui permet au Parti communiste vietnamien de conserver la confiance du peuple et de devenir toujours plus fort. Il a déclaré : « Je tiens à affirmer que la confiance du peuple vietnamien dans la direction du Parti communiste vietnamien dans la lutte contre la corruption est une arme plus puissante que des chars et des millions de soldats. Si nous sommes intègres et bons, nous serons aimés du peuple. »
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