Si au début il ne s'agissait que des sentiments personnels de Mme Ha Lan envers son mari et sa belle-famille, c'est désormais devenu un sujet « brûlant » pour les femmes qui cherchent à « exposer » leurs maris et leurs beaux-parents.
Selon une étude de Kate Rosenblatt, directrice de la société de thérapie en ligne Talkspace (USA), en voyant quelqu'un « aimer » sa publication sur les réseaux sociaux, le cerveau de l'utilisateur produira automatiquement de la dopamine (l'hormone du bonheur), ce qui est bon pour l'esprit et le corps.
Ce sentiment a incité les utilisateurs à passer plus de temps sur les réseaux sociaux. C'est peut-être aussi la raison pour laquelle les personnes aux idées multiples souhaitent partager davantage sur les réseaux sociaux.
Et à partir de là, de nombreuses situations et histoires amusantes surgissent, affectant le bonheur de la famille.
Mme Ha Lan a raconté qu'un jour, elle et son mari se sont disputés au sujet des relations entre leurs familles respectives. En fait, il ne gagnait pas d'argent, mais voulait toujours contrôler les finances de sa femme. Chaque mois, elle donnait 5 millions de VND à sa grand-mère pour la nourriture, mais son mari a jugé que c'était trop peu et a exigé qu'elle lui donne 6 millions de VND.
Pendant ce temps, chaque mois, lorsqu'elle donnait 1 million à sa mère, il semblait contrarié, disant qu'il n'en avait pas besoin et qu'il donnerait de l'argent à sa grand-mère pendant les vacances... En plus des nombreuses autres frustrations dans la famille de son mari qu'elle ne savait pas avec qui partager, Mme Ha Lan a écrit un message exprimant ses sentiments dans un « groupe fermé » de femmes mariées sur Facebook.
La publication de Mme Ha Lan a suscité de nombreuses interactions. Dans les commentaires, certains lui ont conseillé de rester calme, d'attendre quelques jours, le temps que le couple se calme, puis de discuter ensemble. Ils pourront alors s'écouter mutuellement et le conflit sera résolu.
Certains ont dit que donner 5 millions à sa grand-mère n'était pas suffisant, d'autres que c'était trop. Certains lui ont conseillé d'être honnête, non seulement envers son mari, mais aussi envers sa belle-mère et sa famille, sur sa philosophie de vie et les griefs qu'elle avait endurés pendant si longtemps.
On trouve aussi des commentaires non constructifs comme : « Si vous êtes entière, vous serez brisée. À quelle époque sommes-nous pour être si patiente ? » ; « Mieux vaut ne pas avoir de mari que de vivre avec un mari qui ne gagne pas d’argent et qui est en plus patriarcal. »
L’histoire de Mme Ha Lan a « incité » d’autres sœurs à rivaliser pour raconter l’histoire de leur famille.
Du côté positif, lorsque les gens peuvent exprimer leurs frustrations intérieures, ils se sentent soulagés, libérés. Dans le cas de Mme Ha Lan, les échanges et les échanges avec les membres du groupe l'ont beaucoup réconfortée et encouragée.
Mais malheureusement, l'histoire ne s'arrêtait pas là. Quant à Mme Lan, elle ignorait peut-être que dans ce « groupe fermé » de plusieurs milliers de membres, certains connaissaient des membres de la famille de son mari.
Bien que la règle du « groupe fermé » interdise de partager l'article publiquement, une « connaissance inconnue » de Mme Lan dans le groupe fermé a pris une capture d'écran de ce message et l'a « partagée » avec sa belle-sœur. Et l'histoire continue sans fin.
Si au départ, il ne s'agissait que de frustrations personnelles de Mme Ha Lan envers son mari et sa famille, la compétition pour dénoncer leurs maris et leurs familles est aujourd'hui devenue un sujet brûlant. Dans la vraie vie, Mme Ha Lan doit faire face à des réactions virulentes de la part de son mari et de sa famille.
Et j'ai peur que les fissures émotionnelles poussées à ce point culminant ne puissent pas être guéries du jour au lendemain...
Source : https://giadinh.suckhoedoisong.vn/buon-chuyen-nha-len-mang-sai-mot-ly-di-ngan-dam-172241031185809413.htm
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