Le matin du 27 juin, avec près de 93 % des voix favorables, l'Assemblée nationale a voté l'adoption de la loi modifiant et complétant plusieurs articles de la loi sur les établissements de crédit. Cette loi entre en vigueur le 15 octobre.
Le nouveau contenu de cette loi est d'accroître la décentralisation du pouvoir de décision sur les prêts spéciaux à taux d'intérêt de 0% par an, sans garantie, du Premier ministre à la Banque d'État.
Expliquant l'acceptation avant que l'Assemblée nationale n'appuie sur le bouton, le gouverneur de la Banque d'État, Nguyen Thi Hong, a déclaré que le gouvernement a ajusté ce règlement pour garantir que les prêts spéciaux du budget de l'État ne soient accordés que lorsque les établissements de crédit rencontrent des difficultés de liquidité, ou pour procéder à un recouvrement et un transfert obligatoires dans le but de garantir la sécurité du système et les droits des déposants.
En ce qui concerne la saisie des garanties, les avis des députés de l'Assemblée nationale ont suggéré d'ajouter un mécanisme de coordination entre le Comité populaire au niveau de la commune et l'agence de police au niveau de la commune, pour répondre aux intérêts légitimes de la personne dont l'argent est saisi et pour continuer à hériter des deux dispositions de la résolution 42 sur le pilotage du traitement des créances douteuses des banques.
La gouverneure Nguyen Thi Hong a déclaré que la loi stipule uniquement la participation du Comité populaire et de la police communale au processus de confiscation des biens. Autrement dit, elle est fondamentalement cohérente avec la réorganisation des unités administratives et du gouvernement à deux niveaux.
Conformément à la Loi sur les établissements de crédit (modifiée), les services de négociation et de gestion de créances sont habilités à saisir les actifs gagés des créances douteuses. Cette saisie ne peut être effectuée qu'avec l'accord préalable de l'établissement de crédit et de l'emprunteur. Les actifs gagés saisis ne doivent pas être des actifs litigieux dans une affaire acceptée mais non résolue ou en cours de résolution judiciaire.
Afin d'éviter tout abus de ce droit de saisie, la loi stipule que, lors de la mise en œuvre, les établissements de crédit ne doivent pas appliquer de mesures contraires aux interdictions légales ou à l'éthique sociale. Les actifs garantis doivent respecter les conditions prescrites par le gouvernement.
La Banque d'État collaborera avec les organismes compétents pour étudier les conditions de garantie des créances douteuses que les établissements de crédit sont en droit de saisir, afin de concrétiser la politique de développement de l'économie privée conformément à la Résolution 68.
HA (selon VnE)Source : https://baohaiduong.vn/ngan-hang-nha-nuoc-duoc-quyet-cho-vay-dac-biet-lai-suat-0-mot-nam-415081.html
Comment (0)