Le matin du 27 juin, près de 353 000 candidats à l'échelle nationale ont passé l'examen de fin d'études secondaires en anglais selon le programme d'enseignement général 2018.
L'examen de fin d'études secondaires en anglais présente de nombreuses similitudes avec l'examen IELTS.
Maître Do Thi Ngoc Anh, professeur d'anglais à DOL Dinh Luc, qui a obtenu 8,5 à l'IELTS et a remporté une bourse de master à l'Université de l'Ouest de l'Angleterre (Royaume-Uni), a commenté que l'examen de fin d'études secondaires en anglais de cette année présente certaines similitudes avec l'examen IELTS.
Le terme « greenwashing » est appelé avec humour par de nombreux candidats à l'examen de fin d'études secondaires comme le « boss final » difficile de l'examen d'anglais de cette année (Photo : Hoang Hong).
Le test comporte des questions exigeant un niveau de compréhension élevé, similaire à celui de l'épreuve de lecture de l'IELTS, ce qui représente un défi de taille pour les candidats. Des questions telles que la recherche d'idées principales, la recherche d'informations détaillées, la compréhension du vocabulaire dans un contexte spécifique, les questions d'inférence… exigent toutes une compréhension approfondie du passage.
De plus, les candidats doivent être capables de distinguer la lecture détaillée de la lecture générale, en résumant le sujet. Cela exige une certaine souplesse dans l'application de compétences de lecture détaillées et générales pour saisir efficacement l'information.
Mme Ngoc Anh a évalué la note moyenne du test d'anglais de cette année à environ 6-7 points. Malgré la difficulté du test, elle l'a jugé bon. Selon l'enseignante, les sujets abordés sont proches du Vietnam et des jeunes.
L'enseignante a suggéré d'appliquer la méthode de la pensée essentielle pour saisir l'idée principale d'une phrase à travers sa structure, puis l'idée principale du paragraphe entier grâce aux liens entre les phrases. Cette méthode aide les candidats à deviner le vocabulaire en contexte, même lorsqu'ils rencontrent des mots difficiles ou spécialisés qu'ils ne connaissent pas.
En fonction de la manière dont les questions de l'examen d'anglais sont formulées cette année, les étudiants de l'année prochaine doivent pratiquer leurs compétences en compréhension de lecture, en sachant sélectionner les mots à lire et les mots à sauter, sans affecter leur capacité à comprendre l'idée principale de l'ensemble du passage de lecture.
« Greenwashing » : un point difficile et inattendu de l'examen pour de nombreux candidats
Selon l'enseignante, les sujets abordés lors de l'examen d'anglais de cette année sont proches du Vietnam et des jeunes, en particulier ceux qui actualisent régulièrement leurs connaissances sur la vie sociale, comme la compréhension écrite sur le « greenwashing ». Ce sujet a été activement évoqué par les médias nationaux ces derniers temps.
Cependant, pour de nombreux candidats, le « greenwashing » est le vocabulaire le plus difficile à utiliser à l'examen d'anglais de cette année. « Greenwashing » peut se traduire approximativement par « écoblanchiment ». Il s'agit d'une forme de diffusion de faux messages ou de confusion intentionnelle par des individus, des organisations ou des entreprises.
Définition de « greenwashing » selon le dictionnaire Cambridge (Photo : Cambridge Dictionary).
Ils prétendent que les produits et services qu’ils fournissent sont respectueux de l’environnement et répondent aux critères de développement durable, mais en réalité, il ne s’agit que de gadgets marketing qui ne reflètent pas la véritable nature du produit ou du service.
Le terme « écoblanchiment » est une combinaison de « vert » et de « blanchiment ». « Vert » désigne le développement vert, le développement durable et la protection de l'environnement. « Blanchir » consiste à dissimuler et à peindre quelque chose de différent de la réalité.
Fondamentalement, le « greenwashing » consiste à soigner son image, à montrer sa responsabilité envers la communauté dans la protection de l'environnement, mais en réalité, tout est fait de manière superficielle, voire artificielle, sans entrer dans le fond, principalement juste pour le « spectacle ».
Le terme « greenwashing » qui apparaît dans l’examen constitue un défi linguistique, obligeant les candidats à mettre constamment à jour l’actualité et leurs connaissances sociales via les chaînes d’information grand public.
« Greenwashing » peut être grossièrement traduit par « écoblanchiment » (Illustration : Freepik).
Cela peut être considéré comme une nouvelle tendance des examens d'anglais dans les années à venir, lorsque l'examen teste non seulement les compétences linguistiques des candidats, mais exige également des candidats qu'ils aient des connaissances de base sur les problèmes actuels et les sujets « brûlants » de la vie sociale.
Avec la tendance des questions nécessitant une certaine compréhension de l'actualité, les candidats doivent se préparer mentalement et avoir de bonnes compétences pour répondre avec souplesse, même lorsqu'ils rencontrent des termes ou des sujets inattendus dans la salle d'examen.
Source : https://dantri.com.vn/giao-duc/greenwashing-thuat-ngu-am-anh-thi-sinh-thi-tieng-anh-tot-nghiep-thpt-20250628092318851.htm
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