Den revient à son ancien moi avec des pensées plus matures, rappant comme un ami qui se confie à lui - Photo : NVCC
Lang lang est une chanson rare dans laquelle Den (ou Den Vau) interprète lui-même la mélodie, en plus de rapper. Cette composition contient ses réflexions sur le cheminement vers la paix au cœur d'une vie difficile.
Quand la guérison n'est plus un fardeau pour les Noirs
« Je n'ai plus besoin de prouver quoi que ce soit. Mon ego inébranlable a disparu depuis longtemps. Il me faut du temps pour réaliser que je suis vraiment petit. Une journée de voyage sans panier finira par remplir un petit panier. »
Maintenant, la joie est si petite. Entouré d'herbe et d'arbres. M'exposant au soleil. Le vent et la peau se rencontrent passionnément... - Den rappe.
Après de nombreuses années depuis que Den est devenu célèbre avec des chansons de rap qui ont été qualifiées de tubes nationaux, Lang lang est probablement la chanson de rap dans laquelle Den révèle les pensées les plus privées sans porter le « fardeau » de guérir ou d'inspirer quelqu'un.
Den exprimait sa conviction que chacun de nous peut être indépendant et capable de s'améliorer. Dans le premier paragraphe, il révélait son habitude de revenir aux choses les plus familières dès qu'il se sentait fatigué. Dans le deuxième paragraphe, il nous conseillait de vivre avec gratitude et bonheur dans chaque petite chose.
C'est-à-dire : être immergé dans la lumière du soleil et la nature dans la forêt, « avaler une bouchée de lumière du soleil volante comme si je portais un corps plein de chlorophylle », « toucher mes mains sur le sol parfumé », « m'allonger une nuit d'été en regardant les étoiles »...
Lang lang véhicule de nombreux messages, mais grâce au style rap doux et à la musique de fond apaisante, ces messages sont transmis au public de manière proche par Den.
« À tous ceux qui entendent ça, qui écoutent attentivement ou qui écoutent vaguement. J'espère que vous êtes heureux de la vie que vous entreprenez. Oui, il y a beaucoup à entreprendre. Alors, profitez-en », rappe-t-il.
Avec ce nouveau produit, Den revient à la couleur musicale que le public aimait le plus chez lui : rapper comme un ami qui se confie à lui, des couplets de rap pleins de narration.
Les forêts et les arbres sont toujours une source d'inspiration inépuisable pour Den - Photo : NVCC
Va dans la forêt, pense à la vie
« Lạng treo » ne possède pas de refrain final ni de clip vidéo incorporant trop de métaphores. Ce morceau de rap est véritablement « lạng treo » : il s'agit des moments contemplatifs d'un adulte, « ni trop vieux pour rêver, ni trop jeune pour rêvasser, se sentant soudain avare parce que je regrette de plus en plus le temps ».
Le clip a été filmé dans la forêt avec des cadres poétiques, mais Den ne s'est pas déguisé ni transformé en un symbole, il était juste lui-même et a rappé.
Mais s'enfoncer dans la forêt ne signifie pas fuir le temps ni tourner le dos à la vie. Den est encore plein de pensées : « Je suis triste, car tous les deux ou trois jours, les informations annoncent une nouvelle guerre. Bon, c'est fini, je suis trop petit pour savoir quoi faire. Je ne suis qu'une petite feuille qui se balance au loin sur une haute branche. »
Den révèle les pensées d'un adulte dans son nouveau rap - Photo : NVCC
Dans le clip vidéo, Den se promène au cœur de la forêt, touche chaque feuille, chaque tronc d'arbre centenaire, s'assoit sur le porche d'une maison en bois et contemple la forêt. La forêt et les arbres ont toujours été pour lui une source d'inspiration inépuisable, et ont été inclus dans les clips « Music of the Forest », « Hide and Seek », « Always Love Life »…
Le MV a été tourné dans le parc national de Cuc Phuong, le parc national de Tam Dao avec le soutien du Centre de conservation de la faune au Vietnam, Viet Vision Company...
À travers le MV Lang dang , Den « suggère » au public d'aller dans la forêt verte pour être « guéri » par la nature de la manière la plus naturelle.
Source : https://tuoitre.vn/den-khong-viet-nhac-chua-lanh-vi-chua-lanh-khong-phai-la-ganh-nang-20250730070006468.htm
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