Il y a quelques mois, Mme HTKL (HCMC) a reçu un appel du numéro 0947xxxxxx, provenant prétendument du service de police de Da Kao Ward, District 1, l'informant que son identification électronique de niveau 2 était incorrecte et ne pouvait être téléchargée en ligne. Crédule, elle a accepté de régler le problème.
Voyant que le « poisson avait mordu à l'hameçon », les escrocs ont conduit la victime à travers de nombreuses étapes avec de nombreuses personnes et agences de police différentes, puis 3 jours plus tard, ils ont volé sur son compte bancaire 3 fois, un total de près de 1,5 milliard de VND.
Pour faire face au problème des appels indésirables qui agacent, voire arnaquent, les utilisateurs, le ministère de l'Information et des Communications a publié un document exigeant des opérateurs de réseaux qu'ils prennent leurs responsabilités dans la lutte de longue date contre les cartes SIM indésirables. Les cartes SIM conformes à la réglementation sont toutes liées à des propriétaires spécifiques et authentifiées, et les informations des abonnés sont synchronisées avec la base de données nationale. En réalité, les cartes SIM indésirables sont toujours monnaie courante : appels et messages malveillants continuent d'apparaître, usurpant l'identité, menaçant et arnaquant les utilisateurs de téléphones portables. Ces criminels ont défié et défié la loi en « osant » utiliser les numéros d'abonnés des principaux opérateurs de réseaux. De cartes SIM indésirables, elles sont désormais devenues des appels indésirables, continuant de hanter le public et de nuire à la société. Est-ce la conséquence d'une gestion hésitante, insuffisante et même insuffisante pour dissuader ?
Ces derniers temps, les autorités ont pris une nouvelle mesure pour lutter contre ce type de criminalité : l'identification des appels et des messages. Il s'agit tout d'abord d'identifier les numéros de téléphone des agences gouvernementales (notamment des forces de l'ordre, etc.) et des organisations et services ayant des relations étroites avec le public (comme les banques, etc.). Lors des contacts, ces numéros afficheront clairement le nom de l'agence. Des personnes attentives sauront distinguer les appels légitimes.
Par conséquent, tout en poursuivant leurs efforts pour lutter contre les cartes SIM non sollicitées et en gérant rigoureusement chaque numéro d'abonné, les autorités doivent promouvoir une communication continue et régulière afin de sensibiliser le public aux moyens d'identification et de protection proactive. Les notifications au public ne sont également mises à jour par les autorités que via les canaux de communication officiels, notamment les comptes officiels sur les réseaux sociaux.
Lorsqu'elles reçoivent des signalements de numéros de téléphone usurpés ou frauduleux, les autorités doivent vérifier, traiter et répondre rapidement à l'informateur, puis publier ces informations sur les canaux d'information officiels afin de notifier et de dissuader les contrevenants. De plus, les opérateurs de réseaux mobiles doivent prendre des mesures énergiques pour bloquer immédiatement (pendant un certain temps dans un premier temps) les numéros d'abonnés frauduleux.
Source : https://nld.com.vn/nha-mang-di-dong-can-manh-tay-hon-196240528212137041.htm
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