(CLO) Le 30 décembre, le gouvernement a publié le décret n° 175 détaillant un certain nombre d'articles et de mesures pour mettre en œuvre la loi sur la construction sur la gestion de la construction. Selon le ministère de la Construction , le décret 175 est un décret détaillant la loi sur la construction avec un large champ de réglementation couvrant de nombreux domaines et sujets participant aux activités de construction.
Le ministère de la Construction a souligné que le décret vise à institutionnaliser les directives et les politiques du Parti et de l'État sur la promotion de la décentralisation ainsi qu'à renforcer l'inspection et la supervision, à améliorer la transformation numérique, à appliquer les technologies de l'information et à simplifier les procédures administratives dans les activités d'investissement dans la construction.
Le décret 175 vise à modifier les réglementations contradictoires et redondantes qui entravent le développement économique , à garantir l’unité et la synchronisation du système juridique, à assurer une gestion unifiée du niveau central au niveau local et à améliorer l’efficacité et l’efficience de la gestion de l’État.
Le décret 175 minimise également les procédures administratives inutiles, telles que la réduction des types de projets et de travaux qui doivent être évalués par les agences de gestion de l'État en élargissant la portée des projets qui ne nécessitent qu'un rapport technico-économique (d'un investissement total de 15 milliards à 20 milliards, en ajoutant les projets d'entretien, de réparation et de maintenance dans le groupe C) ; en minimisant les cas d'ajustements de conception dans les étapes suivantes sans avoir à effectuer d'ajustements de projet, etc.
Selon le ministère de la Construction, le décret 175 est un décret détaillant la loi sur la construction avec un large champ de réglementation couvrant de nombreux domaines et sujets participant aux activités de construction. Photo d'illustration.
Parallèlement, le décret n° 175 a normalisé les documents requis pour la soumission liés au contenu des procédures administratives, en éliminant autant de documents inutiles que possible pour raccourcir le temps des procédures administratives.
Le décret supprime l'obligation de fournir les informations et documents juridiques déjà disponibles dans le système national de base de données sur les activités de construction et dans la base de données nationale sur le foncier (lorsque ces systèmes seront mis en service, partagés et connectés). Il élimine les chevauchements de contenu de gestion entre les étapes du processus d'investissement ; stipule clairement la liste et les critères de conformité lors de la réalisation des évaluations dans les procédures administratives d'évaluation, de délivrance de permis de construire, de délivrance de certificats, etc., afin d'accroître la transparence.
Le décret a révisé la situation afin de supprimer certains cas nécessitant un certificat d'aptitude à l'activité de construction. Il a également fusionné certains domaines de certificats d'exercice ne nécessitant pas d'expertise spécialisée (gestion de projet, supervision de travaux, etc.) et prolongé la validité des certificats d'exercice individuels de 5 à 10 ans.
Le décret 175 supprime notamment les difficultés et obstacles pratiques, harmonisant ainsi le système juridique. Il précise par exemple les types de documents d'urbanisme ou équivalents utilisés pour l'établissement des projets, ainsi que les conditions d'octroi des permis de construire, afin de répondre à la situation concrète des projets composés de plusieurs types d'urbanisme selon des lois spécifiques, ainsi qu'aux situations où certaines localités n'ont pas encore mis en œuvre leur planification de manière synchrone.
Compléter la réglementation sur les travaux souterrains et les sous-sols des ouvrages de construction conformément aux dispositions de la loi sur l'urbanisme et l'aménagement du territoire, en résolvant le problème du manque d'informations sur les sous-sols à tous les niveaux de planification.
Définir clairement les documents, le contenu et les critères d'évaluation du rapport d'étude de faisabilité relatif à l'investissement dans la construction et à la mise en œuvre de la conception après la conception de base, conformément à la loi sur l'investissement, à la loi sur le logement, à la loi forestière et à la loi sur la prévention et la lutte contre les incendies. Le processus de mise en œuvre doit être clair et transparent afin de réduire les délais de préparation et de conception du projet et d'améliorer l'efficacité et l'efficience de la gestion du travail d'évaluation.
Source : https://www.congluan.vn/nghi-dinh-175-go-bo-hang-loat-quy-dinh-giay-phep-con-trong-nganh-xay-dung-post328389.html
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