La décision d'Israël de couper toute l'alimentation électrique restante de la bande de Gaza est perçue comme une mesure visant à accroître la pression sur le groupe Hamas.
Une rue du nord de Gaza
Par ailleurs, les organisations humanitaires préviennent que les deux usines de dessalement restantes à Gaza pourraient devoir fermer, ce qui aggraverait la pénurie d'eau. Certains experts craignent également que le système de traitement des eaux usées soit gravement affecté, augmentant ainsi les risques pour la santé publique.
Face à cette situation, le 11 mars, les pays du Golfe, dont l'Arabie saoudite et le Qatar, ont également condamné la décision d'Israël de couper l'alimentation électrique de la bande de Gaza et appelé la communauté internationale à agir. Parallèlement, le groupe houthi au Yémen a annoncé que, dès l'expiration du délai de quatre jours, il reprendrait ses attaques contre les navires israéliens si Tel-Aviv ne lève pas le blocus sur les livraisons d'aide humanitaire à Gaza.
Par ailleurs, l'armée de l'air israélienne a lancé au moins 14 autres frappes aériennes visant des radars et des équipements de surveillance aérienne syriens, ainsi que des postes de commandement et des sites militaires abritant des armes. Les zones attaquées étaient toutes des bases de l'armée syrienne sous le régime du président déchu Bachar al-Assad.
Le président par intérim de la Syrie s'engage à mettre fin aux massacres et à la vengeance
Source : https://thanhnien.vn/gaza-doi-mat-tham-hoa-israel-tan-cong-syria-185250311213452897.htm
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