Selon les commentaires de la VCCI, concernant la procédure d'enregistrement des installations solaires sur toiture non raccordées au réseau national, mais soumises à l'enregistrement auprès du Comité populaire provincial, la VCCI a déclaré que « cette réglementation est inutile ». En effet, il s'agit souvent d'installations de petits panneaux solaires pour alimenter des équipements électriques ne nécessitant pas un fonctionnement continu, tels que des pompes ou des dispositifs de stockage d'énergie.
Ce type de réseau n'a pas non plus d'impact négatif sur la sécurité du réseau et sa capacité totale n'est pas limitée. Par conséquent, selon la VCCI, l'État n'a pas besoin de gérer l'électricité par le biais d'une procédure administrative.
Selon le projet de décret, l'installation d'énergie solaire sur les toits pour l'autoconsommation est encouragée. Cela signifie que l'électricité excédentaire ne sera pas vendue à d'autres organisations ou particuliers. Cela soulève la question : les ménages d'un même immeuble peuvent-ils acheter et vendre de l'électricité entre eux ?
S'appuyant sur les retours d'entreprises, la VCCI a déclaré qu'autoriser l'achat et la vente d'électricité au sein d'un même bâtiment permettrait de dégager davantage de ressources pour développer ce type de source d'énergie, de limiter les excédents d'électricité et de contribuer à équilibrer les besoins de l'ensemble du système. Par conséquent, l'organisation a proposé d'autoriser l'achat et la vente directs d'énergie solaire sur les toits, sans passer par le réseau national.
Selon le projet, l'énergie solaire sur les toits connectée au réseau national est limitée à une capacité de 2 600 MW. Le VCCI a proposé que l'agence de rédaction modifie le règlement afin que seuls les cas d'énergie solaire sur les toits connectée au réseau soient limités à une capacité totale de 2 600 MW, au lieu de toutes les sources d'énergie « connectées au réseau ».
Concernant les conditions d'approbation et d'autorisation, le projet stipule que les particuliers et les entreprises doivent soumettre une demande au Comité populaire provincial lors de leur installation. Cependant, la VCCI estime que cette procédure ne précise pas clairement les cas qui seront approuvés et ceux qui ne le seront pas, ce qui pourrait engendrer un certain arbitraire dans la mise en œuvre, et donc facilement conduire au harcèlement et à la négativité.
La VCCI a également cité les réflexions de nombreuses entreprises selon lesquelles l'installation de panneaux solaires sur les toits se heurte encore à de nombreuses difficultés. En particulier, les procédures relatives à la construction, à la prévention et à la lutte contre les incendies, ainsi qu'à la protection de l'environnement, manquent de clarté et sont appliquées différemment selon les localités.
Par exemple, en matière de procédures de construction, certaines localités considèrent l'installation de panneaux solaires sur les toits comme un projet de construction, tandis que d'autres la considèrent comme un équipement supplémentaire. Concernant les procédures de prévention et de lutte contre les incendies, certaines localités ne consultent pas le ministère de l'Industrie et du Commerce, tandis que d'autres sollicitent proactivement l'avis du ministère, tandis que d'autres exigent des entreprises qu'elles le consultent.
À partir des commentaires des entreprises sur la nécessité d'une réglementation claire et transparente et d'une application cohérente des procédures administratives, le VCCI a proposé que l'agence de rédaction complète l'examen des réglementations relatives à l'installation d'énergie solaire sur les toits pour modification dans ce décret, garantissant ainsi la cohérence dans la mise en œuvre.
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