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Les étudiants étrangers quittent l'Iran dans le chaos

GD&TĐ - Alors que les tensions entre Israël et l'Iran s'intensifient, les étudiants étrangers en Iran sont également gravement touchés et voient leurs études perturbées.

Báo Giáo dục và Thời đạiBáo Giáo dục và Thời đại27/06/2025

Cela rend difficile pour le pays de renforcer le développement du secteur de l’éducation internationale.

Moins d'une semaine après la première frappe aérienne israélienne sur l'Iran, une série d'universités ont déclaré l'état d'urgence, suspendant toutes les activités académiques, y compris les cours, les examens et les soutenances de thèses de doctorat.

Les universités de technologie d'Amirkabir, Sharif et Al-Zahra, deux des plus prestigieuses d'Iran, ont toutes suspendu leurs activités, nombre d'entre elles exigeant que les étudiants quittent immédiatement leurs résidences. Des mesures de sécurité sans précédent ont été mises en place, allant de l'interdiction d'accès au campus à la suspension de tous les services de restauration et des cours d'été.

Les infrastructures universitaires ne résistent pas à la crise, selon les experts. Les services Internet ont été perturbés de manière généralisée, le gouvernement privilégiant le contrôle de l'information pendant cette période sensible. Certains établissements ont initialement tenté de poursuivre les cours et les examens en ligne, mais ont été contraints de les suspendre en raison de connexions médiocres ou bloquées.

L'Iran accueille actuellement environ 100 000 étudiants internationaux, principalement originaires de pays voisins comme l'Afghanistan, l'Irak, le Pakistan et l'Inde. Lorsque les attentats ont éclaté et que des alertes de sécurité ont été émises, de nombreuses ambassades ont immédiatement réagi.

L'Inde a coordonné l'évacuation de centaines d'étudiants, les conduisant en Arménie ou dans des zones moins touchées à l'extérieur de Téhéran. Le Pakistan rapatrie également activement des étudiants par voie terrestre et aérienne.

Outre le chaos logistique et organisationnel, la crise a également révélé des défis plus vastes auxquels l'enseignement supérieur est confronté dans la région. Au premier rang desquels figure la dépendance de l'éducation au contexte politique et sécuritaire national.

Alors que de nombreux pays considèrent les universités comme des « zones sûres » inviolables, en Iran, les écoles sont devenues des cibles indirectes de conflits. La proximité des établissements d'enseignement avec les centres militaires et de sécurité en fait des zones potentiellement dangereuses pour les attaquants.

Deuxièmement, la crise a mis en lumière les risques auxquels sont confrontés les étudiants internationaux lorsqu'ils étudient dans des régions instables. De nombreux étudiants afghans et pakistanais ne peuvent rentrer chez eux en raison de la situation politique ou de l'absence de papiers, ce qui les laisse bloqués. Même ceux qui ont été évacués sont confrontés à une grande incertitude : comment poursuivront-ils leurs études ? Quel sera leur avenir universitaire ?

La situation actuelle en Iran illustre parfaitement l'intersection entre éducation et sécurité nationale. Elle soulève de sérieuses questions pour la communauté universitaire internationale quant à la manière d'assurer la sécurité et la continuité de l'éducation en situation de conflit.

Les organisations internationales, de l’UNESCO aux associations universitaires mondiales, devraient envisager de mettre en place des mécanismes d’urgence, fournissant un soutien financier et académique aux étudiants touchés par la guerre.

La crise a montré que le savoir n'est jamais hors de combat. Les universités, symboles de paix et de développement, doivent être protégées comme de véritables « zones démilitarisées » où l'éducation peut se poursuivre même dans les moments les plus sombres. L'abandon en cours de cursus par des dizaines de milliers d'étudiants constitue non seulement une perte personnelle, mais aussi une perte immense pour le développement futur de la région.

Selon University World News

Source : https://giaoducthoidai.vn/sinh-vien-nuoc-ngoai-roi-iran-trong-hon-loan-post737518.html


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