M. Lopez Obrador a qualifié cette journée de « journée historique », selon l'AFP. Il a souligné : « Nous avons besoin de justice pour tous, afin qu'il n'y ait pas de corruption dans le système judiciaire, afin que les juges appliquent le principe selon lequel il n'y a que la loi et que personne n'est au-dessus de la loi. »
Le président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador
Mais les nouvelles réformes judiciaires ont provoqué des tensions diplomatiques avec les deux principaux partenaires commerciaux du Mexique, les États-Unis et le Canada, contrarié les investisseurs et déclenché des manifestations. Leurs opposants affirment que ces réformes sapent l'équilibre démocratique.
Avant que le Sénat mexicain n'adopte le projet de loi de réforme judiciaire le 10 septembre, Margaret Satterthwaite, rapporteuse spéciale des Nations Unies sur l'indépendance des juges et des avocats, a déclaré que l'élection de tous les juges « n'existe dans aucun autre pays ». Elle a ajouté que sans de solides garanties pour empêcher l'infiltration du crime organisé dans le processus de sélection des juges, le système électoral pourrait devenir vulnérable à de telles forces.
Source : https://thanhnien.vn/quoc-gia-duy-nhat-de-cu-tri-bau-tat-ca-tham-phan-185240916221120815.htm
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