La société Nomad Management Vietnam a confirmé qu'elle n'avait rien à voir avec les minutes circulant en ligne qui ont changé le slogan en « Indépendance - Liberté - Juste une petite révélation ».
PHOTO : BTC, CAPTURE D'ÉCRAN
Ces derniers jours, les réseaux sociaux ont diffusé des images d'un document intitulé « Compte rendu de la gestion d'un lapsus » dont le contenu prévoyait un changement de devise du Vietnam. Plus précisément, sous le nom national de « République socialiste du Vietnam », ce document a remplacé la devise par « Indépendance – Liberté – Juste une petite révélation ». D'après les images partagées sur les réseaux sociaux, ce document aurait été diffusé lors de la projection du documentaire « Anh trai say hi ». Il arbore également les logos de Nomad Management Vietnam et de DatVietVAC.
Sur les réseaux sociaux, l'image de ce disque a suscité une vague de critiques de la part du public. De nombreuses personnes, indignées par ces slogans inventés, ont réclamé l'intervention des autorités. De plus, certains ont attaqué la société de gestion du groupe Anh Trai Say Hi , estimant qu'il était lié à ce groupe.
L'image du procès-verbal se propage sur les réseaux sociaux, provoquant la colère de nombreuses personnes.
PHOTO : CAPTURE D'ÉCRAN
Le 10 mars, Nomad Management Vietnam a publié un avis sur sa page officielle, niant toute implication dans l'image diffusée sur les réseaux sociaux. L'entreprise a déclaré : « Le procès-verbal de traitement des violations de la loi ci-dessus a illégalement recadré et collé l'image de marque (le logo) de l'entreprise. »
« Par cette annonce, nous affirmons que le texte ci-dessus n'émane pas de l'entreprise. L'image de marque Nomad a été utilisée sans consentement ni autorisation. Nous travaillons actuellement avec les autorités pour clarifier cette affaire », précise le communiqué. L'entreprise assure qu'elle prendra des mesures juridiques pour protéger ses droits légitimes contre les organisations et les personnes qui diffusent intentionnellement de fausses informations et ternissent sa réputation.
L'incident continue de susciter l'émoi sur les réseaux sociaux. Les internautes ont soulevé de nombreuses questions sur l'origine de ce document et espèrent que les autorités le traiteront avec sérieux.
Comment (0)