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2 mai 1954 : Notre armée met fin au siège de la place forte de Dien Bien Phu.

Báo Nhân dânBáo Nhân dân02/05/2024

À Hong Cum, le 57e régiment renforça le siège, attaqua et détruisit de nombreuses forces ennemies. À l'aube du 2 mai 1954, l'ennemi dut se retirer de la zone C. À 4 heures du matin, le même jour, le 209e régiment (division 312) s'empara des places fortes 505 et 505A (Dominique 3) sur la rive est de la rivière Nam Rom.

Dans la nuit du 2 mai 1954, le régiment 36 détruisit complètement le bastion 311B (Huguette 4). Dans la journée, nos unités mirent hors combat deux bataillons ennemis et abattirent un avion d'observation de type Morane et un Corsair.

Après nos victoires, le Centre de Résistance Éliane, qui défendait le côté est de la place forte, ne disposait plus que de deux positions : A1 (Éliane 2) et C2 (Éliane 4). À l'ouest du champ de Muong Thanh, les troupes ont ouvert des tranchées en direction du poste de commandement de De Castries, parfois à seulement 300 mètres du poste de commandement de la place forte.

Nos unités d'assaut attaquent l'ennemi sur la colline A1. (Photo : VNA)

Du côté ennemi : alors que les troupes françaises étaient assiégées dans le bassin de Diên Biên Phu, le 2 mai 1954, le gouvernement américain fut contraint d’accepter la position ferme du gouvernement soviétique selon laquelle la République démocratique du Vietnam était partie à la Conférence de Genève. Avec le soutien actif de l’Union soviétique, le Vietnam participa pour la première fois à une conférence internationale majeure, bien qu’il n’ait pas encore été reconnu diplomatiquement par le Royaume-Uni, la France et les États-Unis .

Face au risque d'être détruit à Dien Bien Phu, le 2 mai 1954, Navarre se rendit précipitamment de Saïgon à Hanoï pour convoquer une réunion afin de discuter des moyens de sauver la situation. Étaient présents le général Conhi, le colonel Creveco, commandant des forces laotiennes, et des officiers de l'armée du Nord-Vietnam. Tous s'accordèrent à dire que « Dien Bien Phu ne peut plus être tenu ». Le général Navarre fit également son rapport en France, où il reçut l'ordre de ne pas se rendre, quoi qu'il arrive !

Face à cette situation, Navarre préconisait : « Poursuivre le combat pour tenir bon afin de prolonger l'existence de Dien Bien Phu. » En cas de manque de troupes, envoyer des renforts. En cas de manque d'armes, de munitions et de vivres, les ravitailler. Lorsque les conditions de combat seraient révolues, se replier au Laos ; décider de créer des « équipes de parachutistes volontaires », ce qui signifie que même ceux qui ne savaient pas sauter en parachute pourraient monter à bord de l'avion, enfiler un parachute et sauter. Selon les archives françaises, lors de la phase finale de la bataille de Dien Bien Phu, 1 800 « parachutistes volontaires », dont des soldats inexpérimentés, non diplômés ou n'ayant même pas appris le parachutisme, furent jetés dans la vallée de Dien Bien Phu.

Sous la supervision directe de Navarre, dans la journée et la nuit du 2 mai 1954, 120 tonnes de ravitaillement furent larguées sur Dien Bien Phu, dont 50 % furent perdues, contribuant à augmenter les réserves de nourriture de trois à cinq jours, ainsi que cinq séries d'obus d'artillerie de 105 mm, trois séries d'obus d'artillerie de 155 mm et trois séries d'obus de mortier de 102 mm.

La logistique a été réorganisée avec souplesse afin d'assurer le succès de la troisième offensive et d'optimiser l'utilisation des ressources. Dans l'ouvrage « La logistique de la campagne de Dien Bien Phu » , publié par le Département général de la logistique en 1979 , il est écrit : « Après la deuxième phase, le Département général et les unités ont tiré les leçons de l'expérience, constatant clairement l'importance de la disposition de l'arrière, proche ou éloignée, pour tous les aspects du soutien ; ils ont donc procédé à des ajustements. Le rapprochement de la ligne logistique de l'unité vers le front a également été une lutte idéologique acharnée. Par la suite, l'arrière des unités s'est rapproché du front. À cette époque, nous l'avions étroitement encerclée, l'ennemi ne pouvant la pénétrer. Nous avons donc proposé une politique de transport sur le front « favorisant l'efficacité des machines au front », exploitant l'usage de la voiture pour réduire le transport de personnes sur le champ de bataille. Afin d'éviter l'encombrement des tranchées, de réduire les pertes et de limiter les obstructions à la circulation, nous avons adopté le principe « réduire les effectifs, augmenter la productivité », ne laissant sur le champ de bataille que les personnes en bonne santé et productives. »

Auteur : Major, Maître Tran Quoc Dung , Institut d'Histoire Militaire , Ngoc Toan Thu Photo : VNA Présentation : VU ANH TUAN

Nhandan.vn

Source : https://special.nhandan.vn/ngay251954quantakhepchatvongvay/index.html?_gl=1*1dvr14p*_ ga*MTk3MTc4ODk3My4xNzAzMzM4NjUx*_ga_2KXX3JWTKT*MTcxNDYwNDIxOS42NS4wLjE3MTQ2MDQyMTkuNjAuMC4w

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