Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a affirmé que son pays soutenait tous les efforts visant à trouver la paix dans le conflit actuel en Ukraine.
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| Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a confirmé la position de Budapest sur l'Ukraine le 19 mai. (Source : Hungary Today) |
Le 18 mai, la vice-ministre ukrainienne de la Défense, Hanna Maliar, a déclaré sur Telegram : « La Russie a concentré la plupart de ses réserves à Bakhmut et a considérablement renforcé le groupe. Aujourd'hui, ils ont attaqué Bakhmut toute la journée, mais tous ont été repoussés. »
Selon elle, les forces ukrainiennes ont avancé de 500 mètres dans la partie nord et de 1 000 mètres dans certaines zones sud de la ville.
* De son côté, s'exprimant le jour même à l'issue de ses entretiens avec son homologue ougandais Jeje Odongo, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré que les États-Unis n'avaient pris aucune mesure constructive pour résoudre le problème ukrainien. Il a souligné que les États-Unis eux-mêmes étaient à l'origine du conflit « par leur stratégie consistant à s'opposer à la formation objective d'un monde multipolaire, dans le but de maintenir l'hégémonie de Washington et de soumettre tous les pays à sa volonté ».
* Le 18 mai, lors d'une séance conjointe de la commission des affaires étrangères et de la défense du Parlement, le ministre italien de la Défense, Guido Crosetto, a déclaré que le ministère envisageait de se joindre à une initiative européenne visant à former des soldats ukrainiens « en envoyant des experts dans des postes de commandement à Bruxelles, en Pologne et en Allemagne, et en proposant des modules de formation spécialisés dans des écoles et des installations militaires sur le sol italien ».
Il a révélé la possibilité que l'Italie déploie environ 3 400 soldats sur le flanc oriental de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) en 2023. Le plan pourrait notamment inclure le déploiement d'une unité navale dotée de capacités de défense aérienne et de défense antimissile dans la mer Baltique, contribuant au renforcement de l'espace aérien polonais et euro-atlantique.
* Le 18 mai, lors d'une conférence de presse à l'occasion de la réunion du conseil d'administration de l'Organisation internationale chrétienne-démocrate (CDI-IDC) à Bled (Slovénie), le Premier ministre hongrois Viktor Orban a affirmé que Budapest soutenait tous les plans de paix pour l'Ukraine.
Le dirigeant a déclaré que son pays se tient du côté de la paix, soutenant tous les plans de paix, car « nous ne savons pas quel plan réussira en fin de compte, mais si nous ne faisons pas le premier pas, nous n'atteindrons jamais la paix ».
Il a évoqué deux manières d'aborder l'avenir du conflit : l'une envisage une résolution militaire, tandis que l'autre affirme qu'une telle possibilité est exclue. Un cessez-le-feu et des négociations de paix sont donc nécessaires.
* Dans le même ordre d'idées, un conseiller du Sénat américain et un responsable de la défense ont déclaré le 18 mai que le Pentagone avait surévalué d'environ 3 milliards de dollars l'équipement américain envoyé à l'Ukraine. « Nous avons constaté des incohérences dans la manière dont nous avons évalué l'équipement fourni », a déclaré un responsable.
Le Congrès américain a été informé de ce changement. Cette erreur pourrait ouvrir la voie à l'envoi de davantage d'armes à Kiev pour se défendre contre les forces russes.
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