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Le VCCI propose de supprimer les licences d'importation et d'exportation d'or

Le VCCI recommande de supprimer les licences d'importation et d'exportation d'or et les licences d'importation et d'exportation d'or à usage unique, car cela créera de nombreuses « sous-licences », augmentant les procédures administratives et les coûts de conformité pour les entreprises.

Báo Đầu tưBáo Đầu tư29/12/2024

La Fédération du Commerce et de l'Industrie du Vietnam (VCCI) vient d'envoyer une dépêche officielle à la Banque d'État du Vietnam (SBV) demandant des commentaires sur le projet de décret modifiant et complétant un certain nombre d'articles du décret 24/2012/ND-CP sur la gestion des activités de négoce de l'or.

Suppression des conditions commerciales pour les entreprises produisant des lingots d'or et des bijoux en or

En conséquence, concernant les conditions d'octroi des licences de production de lingots d'or, le projet de loi prévoit un capital social minimum de 1 000 milliards de VND ou plus pour les entreprises. La VCCI a cité les commentaires des entreprises, affirmant que cette réglementation est trop stricte, constitue un obstacle trop important et empêchera la majorité des entreprises de participer au marché. Cela pourrait conduire à une situation où seules quelques entreprises pourront participer au marché, limitant la concurrence, empêchant la diversification des sources d'approvisionnement et affectant ainsi les droits et les choix des citoyens.

En ce qui concerne les activités de bijouterie en or et d'artisanat, le projet de décret actuel continue de maintenir les conditions commerciales pour les activités de bijouterie en or et d'artisanat.

Selon VCCI, le maintien de cette situation commerciale n’est pas approprié.

Premièrement, cela est incompatible avec les dispositions de la Loi sur l'investissement. Celle-ci stipule que seules les industries affectant la défense nationale, la sécurité, l'ordre, la sécurité sociale, l'éthique sociale ou la santé publique sont soumises à des conditions commerciales. Par ailleurs, les bijoux en or et l'artisanat sont des biens de consommation courants qui ne portent pas atteinte à l'intérêt public au point de justifier l'application de restrictions.

Deuxièmement, il n'existe aucune exigence particulière en matière de sécurité ou de gestion. Plus précisément, les conditions commerciales actuelles pour la bijouterie et l'artisanat en or sont principalement liées aux installations et aux équipements, comme pour d'autres types de commerce de matières premières. Ces exigences ne sont pas liées à l'objectif de protection de l'intérêt public ou de prévention de risques spécifiques ; il n'y a donc pas de fondement suffisant pour maintenir ce secteur comme secteur conditionnel.

Troisièmement, cela n'est pas cohérent avec la politique de réforme administrative. Continuer à réglementer les conditions d'activité dans ce domaine va à l'encontre de l'esprit de la résolution n° 68/NQ-TW sur la réforme des procédures administratives, qui exige de minimiser l'intervention administrative, d'éliminer les obstacles et le mécanisme de « demande-don » dans les activités d'investissement et d'affaires.

Dans le même temps, ce règlement n'est pas vraiment adapté et ne soutient pas l'orientation « Encourager le développement du marché intérieur des bijoux en or pour transformer progressivement le Vietnam en un centre de fabrication et d'exportation de bijoux en or de haute qualité » que le Secrétaire général a conclu lors de la réunion avec le Comité central de politique et de stratégie le 28 mai 2025.

Par conséquent, la VCCI a proposé que la Banque d’État supprime les réglementations sur les conditions commerciales des bijoux en or.

Supprimer les « sous-licences » pour les importations d'or

Français En ce qui concerne les importations de lingots d'or, selon le VCCI, le projet de décret modifiant le décret 24 réglemente les importations de lingots d'or dans une direction de contrôle à plusieurs niveaux, y compris : Licence d'importation-exportation d'or ; Limite annuelle d'importation-exportation ; Licence d'importation-exportation pour chaque fois ;

L'exigence simultanée des licences susmentionnées créera de nombreuses « sous-licences », augmentant les procédures administratives, les coûts de conformité et créant des difficultés pour la production et les activités commerciales des entreprises. Par conséquent, la VCCI recommande à l'organisme de rédaction de modifier la réglementation afin de simplifier les procédures tout en respectant les exigences de gestion.

Plus précisément, la VCCI a proposé de supprimer la licence d'importation-exportation d'or. En effet, ces licences ne sont délivrées qu'aux entreprises productrices d'or. Or, ces entreprises sont déjà agréées et strictement gérées par la Banque d'État. Par conséquent, exiger une licence d'importation-exportation distincte supplémentaire est inutile, car il s'agit d'une « licence dans une licence », ce qui augmente les procédures et les coûts.

La VCCI a également proposé de supprimer les licences d'import-export à chaque fois, la Banque d'État contrôlant le plafond annuel des licences pour les entreprises. Dans un contexte de fluctuations importantes du marché de l'or et fortement influencé par des facteurs nationaux et internationaux, attendre chaque licence peut faire manquer des opportunités commerciales aux entreprises et réduire leur flexibilité opérationnelle.

La réglementation relative à la délivrance d'une licence unique pourrait permettre aux agences de gestion d'obtenir des informations sur les activités d'import-export des entreprises et d'être proactives dans leur gestion. Cela pourrait se faire en exigeant des douanes qu'elles connectent leurs données à celles de la Banque d'État, ou en exigeant des entreprises qu'elles rendent compte périodiquement de la mise en œuvre des limites d'import-export. Ces mesures garantissent une supervision efficace et créent des conditions favorables à la proactivité des entreprises dans leurs activités commerciales.

Concernant l'or importé, le projet stipule que les entreprises ne sont autorisées à importer que des lingots d'or et de l'or brut provenant de fabricants certifiés par la London Bullion Market Association. La VCCI a demandé à l'organisme de rédaction de clarifier la raison de cette réglementation.

Clarification du contenu des produits dérivés de l'or et des comptes de trading de l'or

Le projet de décret modifiant et complétant plusieurs articles du décret 24/2012/ND-CP relatif à la gestion des activités de négoce de l'or mentionne d'autres activités de négoce de l'or. Selon la VCCI, certaines réglementations sur ce sujet manquent de clarté et de précision.

Concernant les conditions d'investissement, le projet de loi stipule que d'autres activités de négoce d'or sont incluses dans la liste des biens et services restreints. Cependant, cette base n'est plus pertinente. Cette liste était auparavant prévue par la loi commerciale et les documents d'orientation, mais en réalité, elle n'a pas été appliquée depuis de nombreuses années et a été officiellement abolie par le décret 173/2024/ND-CP. Selon la loi sur l'investissement de 2020, il n'existe que trois types de listes : les secteurs d'investissement et d'activité interdits ; les secteurs d'investissement et d'activité conditionnels ; et les secteurs d'investissement et d'activité libres.

Le projet stipule que cette activité ne peut être exercée qu'avec : (i) une autorisation du Premier ministre ; et (ii) une licence de la Banque d'État. Cependant, ni le projet ni le décret 24/2012/ND-CP ne précisent les conditions d'autorisation, de licence ni les procédures. Une telle disposition est incompatible avec l'article 7.5 de la loi sur l'investissement de 2020 sur le contenu obligatoire des réglementations relatives aux conditions d'investissement et d'activité.

Par conséquent, la VCCI a proposé que la Banque d’État complète la réglementation sur les conditions, les procédures et les procédures d’octroi de licences pour cette activité.

Concernant les produits dérivés sur l'or, le projet stipule que ces produits font partie des activités de négoce d'or soumises au décret. Cependant, ni le projet ni le décret 24/2012/ND-CP ne précisent le mécanisme ni les conditions de cette activité. Le décret ne précise que le cadre juridique des activités des établissements de crédit sur les produits dérivés sur l'or, mises en œuvre conformément à la loi sur les établissements de crédit. La VCCI demande au rédacteur de clarifier : d'autres organisations et entreprises (telles que les sociétés de négoce d'or, les institutions financières, etc.) peuvent-elles participer aux activités de produits dérivés sur l'or ? Dans ce cas, quelles sont les conditions et les procédures d'agrément ?

De même, concernant les activités de négociation d'or sur les comptes, la VCCI a également demandé des éclaircissements à la Banque d'État, car le projet de décret révisé ne précise pas quelles organisations et entreprises peuvent fournir ce service. Quels investisseurs peuvent y participer ? Quelles sont les conditions, les procédures et les processus ? Comment sont mises en œuvre les réglementations relatives aux transactions, à la correspondance des ordres et aux paiements ?

Source : https://baodautu.vn/vcci-kien-nghi-bo-giay-phep-xuat-nhap-khau-vang-d314303.html


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