Lors de la fête d'anniversaire, le groupe d'amis s'est invité à boire de « l'eau heureuse » pour augmenter le sentiment de joie et de rafraîchissement.
Après environ 2 heures, l'étudiante a souffert d'une grave insuffisance respiratoire et est tombée dans le coma. Elle a été admise à l'hôpital le soir du 27 février.
Les médecins de l'hôpital Thong Nhat ont rapidement posé une sonde endotrachéale et placé le patient sous respirateur. Son état est actuellement stable et la sonde endotrachéale a été retirée.
Le soir du 27 février, un homme de 50 ans du district de Tan Binh a été transporté d'urgence à l'hôpital de Thong Nhat après avoir été contraint de boire des stimulants.
Selon le patient, après la soirée arrosée, des amis l'ont invité à aller dans un bar et à prendre des stimulants. À son retour, le patient était léthargique et a été emmené aux urgences par ses proches.
Le patient a reçu un diagnostic d'intoxication aux amphétamines contenues dans l'ecstasy. Il a bénéficié de soins intensifs : perfusions, oxygénothérapie et surveillance des signes vitaux. Il a pu quitter l'hôpital ce matin.
Le docteur Hoang Ngoc Anh, chef du service de soins intensifs et antipoison de l'hôpital Thong Nhat, a déclaré que des tests ont révélé que l'« eau heureuse » consommée par le patient contenait principalement des stimulants, comme l'amphétamine, la méthamphétamine et la kétamine. Ces substances addictives sont particulièrement dangereuses et peuvent mettre la vie en danger.
Une surdose de stimulants peut provoquer une dépression respiratoire, de l'excitation, de la stimulation, de l'euphorie, une loquacité et des effets neurologiques. Les cas plus graves peuvent provoquer des convulsions, de l'agitation, voire des lésions multiviscérales, pouvant aller jusqu'à une insuffisance rénale, un infarctus du myocarde et un accident vasculaire cérébral.
Les patients sous stimulants bénéficient de soins de soutien et d'un traitement symptomatique, car il n'existe pas d'antidote spécifique. Une hospitalisation tardive est donc très dangereuse.
Chaque année, l'hôpital Thong Nhat reçoit en moyenne 5 à 7 cas nécessitant une prise en charge en urgence après consommation de substances telles que la drogue et l'ecstasy. C'est la première fois que l'unité traite un cas de consommation d'« eau heureuse ».
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