En conséquence, pour assurer le recouvrement des capitaux avancés, notamment des capitaux avancés en souffrance, et en même temps appliquer strictement la Directive n° 20/CT-TTg du 12 juillet 2024 du Premier ministre sur la rectification et le renforcement de la gestion des capitaux avancés pour l'investissement public provenant du budget de l'État des ministères, des agences centrales et des localités, le président du Comité populaire provincial a demandé aux agences, unités et localités d'avoir des directives et des mesures drastiques pour se concentrer sur le recouvrement des capitaux avancés pour l'investissement provenant du budget de l'État.

Les départements et branches locaux doivent suivre de près et appliquer strictement les directives du Premier ministre dans la Directive 20/CT-TTg du 12 juillet 2027, dans laquelle une attention particulière doit être accordée à « Gérer strictement les dépenses transférées du budget de l'État et traiter minutieusement les cas d'avances dépassant le délai prescrit pendant de nombreuses années », recouvrer rapidement les avances en souffrance, s'assurer que les avances dans les temps à venir sont conformes à la réglementation, pour le bon usage, pour les bons sujets et utiliser efficacement le capital avancé, et empêcher l'apparition d'avances en souffrance.
Les secrétaires des comités du Parti de district, de ville et de municipalité et les secrétaires du Parti des départements et des conseils de gestion de projet se concentrent sur la direction et la prise de responsabilité devant le Comité provincial du Parti, le Conseil populaire et le Comité populaire provincial pour les résultats de la mise en œuvre de la Directive n° 20/CT-TTg du 12 juillet 2024 du Premier ministre.
Le Département des Finances présidera et coordonnera avec le Trésor public provincial pour exhorter périodiquement les investisseurs à récupérer le capital avancé et le capital avancé en souffrance sur une base mensuelle ; faire rapport périodiquement au Comité populaire provincial sur une base mensuelle pour prendre des mesures pour récupérer tout le capital avancé en souffrance comme prescrit dans la clause 6, article 10 du décret n° 99/2021/ND-CP du 11 novembre 2021 du gouvernement.
Le Trésor public provincial préside et coordonne avec les comités populaires des districts, des villes, des municipalités et des investisseurs l'examen et la synthèse du capital provisoire et du capital provisoire en souffrance (le cas échéant), rend compte périodiquement chaque mois et propose au Comité populaire provincial des mesures pour recouvrer le capital provisoire et le capital provisoire en souffrance.
Les comités populaires des districts, des villes et des agglomérations doivent ordonner aux comités populaires des communes (en tant qu'investisseurs), aux conseils régionaux et aux services de planification et de finances d'examiner le capital provisoire et le capital provisoire en souffrance (le cas échéant), de faire rapport périodiquement chaque mois, de proposer des mesures pour recouvrer le capital provisoire et le capital provisoire en souffrance et de les envoyer au Trésor public provincial pour synthèse ; d'accélérer les progrès de la préparation, de l'examen et de l'approbation du règlement final du capital d'investissement du projet conformément à la directive du Comité populaire provincial dans le dépêche officielle n° 2528/UBND-XD du 17 mai 2024.
Mettre l'accent sur la mise en œuvre de solutions flexibles, créatives, opportunes et efficaces pour accélérer considérablement l'avancement des projets d'investissement public et des trois programmes cibles nationaux. L'accélération de la construction doit s'accompagner de la garantie de la qualité des travaux et des projets, évitant ainsi les effets négatifs, les pertes et le gaspillage.
Renforcer le travail d'inspection, appréhender la situation et gérer rapidement et efficacement les problèmes, difficultés et obstacles qui surviennent. Examiner proactivement et informer rapidement et précisément des difficultés et obstacles afin que les organismes de gestion puissent élaborer des politiques et des solutions pour une orientation et un fonctionnement conformes à la réalité. Pour les projets en cours qui ne progressent pas, envisager de transférer des capitaux vers des projets dont les décaissements sont bien avancés ; désigner des responsables spécifiques chargés du suivi de la mise en œuvre ; assurer un suivi rigoureux, éliminer rapidement les difficultés et assumer la responsabilité des résultats des décaissements ; recouvrer les avances restantes et les avances en souffrance de chaque projet, en considérant cela comme une base importante pour l'évaluation et la classification du niveau d'achèvement des tâches assignées en 2024, tant pour les collectifs que pour les particuliers.
Concernant la réception des travaux avant mise en service, pour les projets relevant du pouvoir de décision d'investissement du Comité populaire de district, le président du Comité populaire de district est tenu d'ordonner aux services compétents de procéder d'urgence à une inspection de réception des travaux avant mise en service, afin de finaliser les projets achevés et de réduire les avances impayées. Le Comité populaire provincial examinera la responsabilité des présidents des Comités populaires de district, de ville et de bourg si des projets restent en suspens et leur règlement tarde longtemps.
Les investisseurs et les comités de gestion de projets spécialisés et régionaux doivent se conformer à la réglementation en vigueur relative aux avances de fonds. Le montant des avances, la date de versement, le montant de chaque avance et la date de recouvrement de chaque avance conformément à la réglementation doivent être expressément indiqués dans le contrat et doivent être cohérents avec l'avancement des investissements du projet, l'avancement de la mise en œuvre du contrat et le volume d'exécution annuel. Le montant des avances et le nombre d'avances sont déterminés chaque année en fonction de l'avancement de la mise en œuvre du contrat au cours de l'année correspondante (le cas échéant).
Pour les travaux d'indemnisation, d'accompagnement et de réinstallation : Le niveau du capital avancé est fonction du plan et de l'avancement des travaux d'indemnisation, d'accompagnement et de réinstallation ; le niveau maximal du capital avancé requis ne doit pas dépasser le plan d'indemnisation, d'accompagnement et de réinstallation approuvé par l'autorité compétente.
Vérifier les dispositions relatives aux avances de fonds dans les contrats signés et exécutés, en veillant au respect des dispositions légales relatives à la gestion et aux avances contractuelles (procédures de garantie d'avance, conditions de garantie d'avance, modalités de recouvrement d'avance…) ; gérer et utiliser les fonds avancés de manière rigoureuse et efficace, aux fins et pour les personnes concernées, conformément aux dispositions contractuelles. Surveiller attentivement la durée de validité de la garantie d'avance de l'établissement de crédit afin de s'assurer qu'elle doit être prolongée jusqu'au recouvrement intégral de l'avance par l'investisseur.
Pour les projets en cours avec des avances en suspens qui n'ont pas été récupérées : Continuer à surveiller et à exhorter les unités à mettre en œuvre et à accepter rapidement les volumes terminés pour récupérer le capital avancé, en garantissant un recouvrement complet lorsque la valeur du décaissement atteint 80 % de la valeur du contrat (sauf dans les cas où l'autorité compétente autorise une avance plus élevée).
Pour les avances en souffrance : Examiner et évaluer spécifiquement la cause de chaque avance en souffrance ; déterminer les responsabilités collectives et individuelles de remboursement ; proposer des solutions à mettre en œuvre de manière approfondie et résolue, en assurant le recouvrement de toutes les avances en souffrance (y compris les mesures de dépôt d'une plainte devant les tribunaux, de transfert aux organismes d'inspection, à la police).
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