Le 14 avril, un dialogue sur la mondialisation a eu lieu avec la participation d'intervenants qui sont des chefs d'entreprise, des experts économiques de Chine et de pays du monde entier et environ 300 invités.
Ici, les intervenants ont fourni des informations sur la situation économique de la Chine et de la région asiatique ; ont discuté de la coopération entre le Vietnam et la Chine, de l'élargissement du marché entre les deux parties ; ont fourni des informations sur l'industrie manufacturière et le partage entre les entreprises chinoises et les entreprises au Vietnam ; ont promu l'innovation et la technologie au Vietnam...
Cela a été suivi d'une séance de dialogue discutant de sujets tels que l'intégration de la chaîne d'approvisionnement, les flux commerciaux internationaux en Asie, la feuille de route vers l'énergie propre, les investissements dans les infrastructures en Chine...
Lors du forum, les délégués ont discuté de la connectivité des marchés et des transports entre la Chine et le Vietnam. Il a été proposé de développer une ligne ferroviaire de fret entre le Vietnam et la Chine. Certains ont souligné la nécessité pour le Vietnam de construire davantage de voies ferrées reliant les zones industrielles afin de faciliter le transport de marchandises et de continuer à attirer les investissements dans le secteur manufacturier.
Les délégués ont également discuté des politiques du travail au Vietnam et du développement de la main-d’œuvre lors des investissements dans la production et les affaires au Vietnam, ainsi que de la question de savoir comment retenir les travailleurs dans le contexte actuel.
Selon les délégués, lorsqu'on investit au Vietnam, il est nécessaire de mieux comprendre le concept de « respect des sentiments » des travailleurs vietnamiens.
Les entreprises estiment que les travailleurs vietnamiens travaillant dans des entreprises à capitaux étrangers (IDE) ont une certaine affection pour l'entreprise et l'employeur. Cela s'est manifesté lors de la récente pandémie de COVID-19, lorsque de nombreux travailleurs ont accepté le danger de rester dans l'entreprise pour participer à la production et maintenir la chaîne d'approvisionnement.
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