Le président élu des États-Unis, Donald Trump, continue de mettre en place son administration entrante, tandis que certaines de ses nominations risquent d'être examinées au sein de son propre parti républicain.
Un leadership médiatique ferme
Le président élu Trump a annoncé son choix de Brendan Carr comme président de la Commission fédérale des communications (FCC) pour la nouvelle administration, le qualifiant de « guerrier de la liberté d'expression », selon Reuters.M. Trump à l'arène de New York le 16 novembre.
Photo : AFP
Le test n'est pas facile
Jusqu'à présent, M. Trump a annoncé une série de nominations aux postes de sécurité nationale, de justice, de santé et d'énergie, mais n'a pas encore pris de décision concernant les postes économiques . La plupart des postes importants devront être approuvés par le Sénat américain. Certains d'entre eux rencontrent une certaine opposition, notamment la nomination de Matt Gaetz au poste de procureur général. Accusé d'avoir eu des relations sexuelles avec une mineure, cet homme politique a nié ces accusations. La commission d'éthique de la Chambre des représentants a enquêté, mais M. Gaetz ayant démissionné de son poste de député, le rapport ne sera pas publié, bien que certains sénateurs républicains aient demandé à le consulter. Le sénateur républicain John Thune, en passe de devenir chef de la majorité au Sénat, a admis que l'approbation des nominations de M. Trump « ne sera pas facile », selon The Hill . La Constitution américaine autorise le président à nommer des fonctionnaires fédéraux sans l'approbation du Sénat si celui-ci est en vacances parlementaires prolongées, actuellement d'au moins dix jours. M. Trump a exhorté les dirigeants républicains du Parlement à le faire afin de l'aider à nommer les membres de son cabinet. Mais M. Thune a reconnu qu'il pourrait ne pas y avoir suffisamment de voix pour demander une longue pause parlementaire en raison de l'opposition potentielle de législateurs en désaccord avec les nominations. Les républicains ont repris le contrôle du Sénat et devraient détenir au moins 52 des 100 sièges au cours de la nouvelle législature.Risque de fermeture du gouvernement
Le gouvernement américain risque un shutdown s'il ne parvient pas à adopter un projet de loi budgétaire ou une résolution de financement temporaire avant la date limite du 20 décembre. Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, espère que le Congrès sortant pourra adopter un nouveau budget pour l'ensemble de l'exercice 2025 (se terminant fin septembre 2025), mais dans le cas contraire, il reste confiant dans la deuxième possibilité, selon l'AFP.Thanhnien.vn
Source : https://thanhnien.vn/thu-thach-cho-bo-may-moi-cua-ong-trump-185241118214908177.htm
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