Aujourd'hui, avec un simple smartphone et une connexion internet, n'importe qui peut devenir streamer en direct, filmer et prendre des photos pour les publier sur les réseaux sociaux. Cependant, abuser de cette pratique peut avoir des conséquences néfastes sur l'environnement des réseaux sociaux et sur la société.
Un organisateur d'événements s'est plaint de la difficulté actuelle à « protéger l'événement » et à le maintenir tel que prévu. Sans une gestion et une organisation rigoureuses de l'information, des événements importants peuvent être « sabotés » par des « photographes nationaux ». De nombreux « photographes » ont exploité les funérailles de célébrités pour obtenir des « j'aime » et des vues sur leurs comptes personnels, et beaucoup de personnes cherchent même à obtenir des vues à tout prix pour gagner de l'argent.
Un récent incident de « visage abusif » s'est produit le 17 mai : un groupe de 17 femmes de la ville de Kien Xuong (district de Kien Xuong, province de Thai Binh ) se sont rendues au milieu de la route pour faire des exercices de yoga afin de filmer et de prendre des photos. Le 19 mai, les autorités ont infligé une amende administrative à 14 adultes du groupe pour s'être rassemblés en grand nombre, s'être allongés et assis sur la chaussée, gênant ainsi la circulation.
En effet, sauf dans les cas interdits, les citoyens ont le droit d'enregistrer et de diffuser des informations sur les activités de la vie sociale. D'un point de vue positif, cela contribue à la diffusion de l'information au sein de la communauté. En revanche, chacun a également le droit de recevoir des informations.
Le problème est que les autorités ne peuvent punir ces « photographes » s'ils n'ont pas agi de manière imprudente ou excessive au point d'enfreindre la loi et de devoir être poursuivis pour trouble à l'ordre public. Mais nul ne peut nier la situation chaotique et inesthétique de ces « photographes ».
Il est donc nécessaire que les autorités interviennent pour contrôler et rappeler aux « photographes nationaux » la vigilance nécessaire pendant leur travail. De plus, les autorités locales doivent également sanctionner sévèrement ceux qui enfreignent intentionnellement la loi. Afin d'éviter toute distorsion, il est nécessaire de préciser que l'on est puni non pas pour avoir « filmé », mais pour « avoir enfreint la loi et causé des troubles sociaux ». Même s'ils sont des « photographes nationaux », ils doivent néanmoins posséder une culture professionnelle.
Source : https://nld.com.vn/nhon-nhao-tu-nhung-tay-may-quoc-dan-196240521203742581.htm
Comment (0)