Journaliste Thu Thuong.
Dans le passé, voyager à Tuyen Quang était très difficile, voyager tous les jours en moto, parfois il fallait une journée entière pour arriver au district de Na Hang, mon collègue et moi, qui était caméraman, partagions une moto avec nos effets personnels, je m'asseyais derrière en tenant la caméra, le trépied et bien d'autres choses, maintenant il y a aussi une Flycam donc les affaires s'empilaient plus haut que le visage.
Le travail est intense, la pression est forte, et parfois, lorsque la province organise de grandes conférences ou des événements importants, toute l'équipe travaille toute la nuit. En seulement 12 heures, nous réalisons un programme complet avec une qualité garantie, très appréciée des dirigeants provinciaux. Ainsi, même si nous rentrons souvent à 1, 2 ou 5 heures du matin, chacun est ravi d'avoir terminé les tâches qui lui sont assignées.
Au cours de mes nombreuses années de travail, j'ai constaté que les femmes journalistes ont de nombreux atouts, notamment leur style de communication et leur gentillesse. Elles travaillent donc avec aisance et sont souvent partagées. Grâce à cela, j'ai pu trouver de bons sujets et des thèmes attrayants. C'est également ce qui m'a permis de remporter de nombreux prix lors de concours nationaux et provinciaux de journalisme. C'est notamment un grand honneur pour moi et le groupe d'auteures Ngoc Toan, Thuy Ha et Mai Hoa d'avoir remporté le Prix d'encouragement du 19e Prix national de journalisme en 2024, décerné le 21 juin dernier, Journée de la presse révolutionnaire vietnamienne.
En repensant au parcours que j’ai parcouru, je constate que le parcours professionnel d’une femme journaliste est semé d’embûches et difficile, mais si je devais choisir à nouveau, je choisirais toujours le journalisme.
Source : https://baotuyenquang.com.vn/neu-chon-lai-toi-van-chon-nghe-bao-213725.html
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