Selon les électeurs de la province d'An Giang, le ministère de l'Éducation et de la Formation devrait organiser des examens de fin d'études pour les étudiants à l'échelle nationale au lieu de l'examen actuel de fin d'études secondaires.
En réponse à ce contenu, le ministre de l'Éducation et de la Formation, Nguyen Kim Son, a souligné que la loi sur l'éducation stipule que lorsque les élèves terminent le programme d'études secondaires et remplissent les conditions requises, ils passent l'examen pour obtenir un certificat de fin d'études secondaires. Les élèves qui terminent le programme d'études secondaires mais ne passent pas l'examen ou qui l'échouent recevront un certificat d'achèvement du programme d'enseignement général.
« L'organisation d'examens pour la reconnaissance du diplôme d'études secondaires est prévue par la loi sur l'éducation. Parallèlement, cet examen constitue l'un des critères d'évaluation de la qualité de l'enseignement et de l'apprentissage dans les établissements d'enseignement général et sert de base à la gestion des organismes de gestion de l'éducation. Il fournit des données fiables aux universités et aux établissements d'enseignement professionnel pour les inscriptions, dans un esprit d'autonomie », indique le document en réponse aux électeurs.
Soulignant la nécessité d'organiser un examen, le ministre a ajouté que l'organisation de l'examen de fin d'études secondaires est une mission importante du secteur de l'éducation, qui intéresse la société. Le Parti, l'Assemblée nationale et le gouvernement ont adopté de nombreuses résolutions relatives à l'examen et à la reconnaissance du diplôme de fin d'études secondaires. Le ministère de l'Éducation et de la Formation propose toujours un programme d'examen concis, réduisant la pression et n'occasionnant pas de coûts pour la société.
Ministre de l'Éducation et de la Formation Nguyen Kim Son.
Les électeurs de la province d'An Giang ont également proposé que le ministère de l'Éducation et de la Formation charge les départements locaux de l'Éducation et de la Formation de décider et de sélectionner un ensemble unifié de manuels scolaires en fonction des niveaux scolaires de la province.
Le ministre de l'Éducation et de la Formation a cité la résolution 88 de l'Assemblée nationale sur la « socialisation de la compilation des manuels scolaires ; il existe un certain nombre de manuels pour chaque matière ». Par ailleurs, dans les circulaires régissant le choix des manuels, le ministère de l'Éducation et de la Formation autorise les écoles à décider de leur adéquation aux conditions d'organisation de l'enseignement et aux conditions socio-économiques de la localité. « Le fait que chaque école organise l'enseignement avec des manuels différents n'affecte pas la participation des parents au processus d'évaluation et d'accompagnement de leurs enfants », a affirmé le ministre dans une réponse écrite.
Concernant la proposition de ne pas augmenter les frais de scolarité universitaires pour réduire les difficultés des familles et des étudiants, le ministère de l'Éducation et de la Formation a informé qu'en raison de l'impact de la pandémie de COVID-19 et pour contrôler l'inflation, le gouvernement a publié la résolution 165 en 2022 exigeant des universités qu'elles maintiennent les frais de scolarité stables pour l'année scolaire 2022-2023 comme pour l'année scolaire 2021-2022.
Par conséquent, les frais de scolarité dans les établissements d'enseignement public restent stables et n'ont pas augmenté depuis trois années scolaires consécutives. « Ces frais sont très faibles, ne couvrant que 40 à 50 % des coûts de formation, le reste devant être financé par le budget de l'État », a souligné le ministre.
Français Au cours de l'année scolaire 2023-2024, bien que le budget de l'État continue de réduire de 2,5 % les dépenses régulières des écoles, le gouvernement est toujours déterminé à publier le décret 97 pour retarder d'un an le barème des frais de scolarité par rapport aux réglementations du décret 81. Dans le même temps, les politiques d'exonération et de réduction des frais de scolarité et de soutien aux frais d'études pour les étudiants en situation difficile, les bénéficiaires des politiques, les zones de minorités ethniques, les zones montagneuses et les îles continuent d'être mises en œuvre pour réduire la charge financière.
Source : https://vtcnews.vn/cu-tri-kien-nghi-bo-thi-tot-nghiep-thpt-bo-truong-gd-dt-noi-gi-ar902009.html
Comment (0)