La proposition d'imposer un impôt de 20 % sur les bénéfices de cession immobilière, contenue dans le projet de loi relatif à l'impôt sur le revenu des personnes physiques (amendé), n'a pas été adoptée. Cette décision a maintenu le taux d'imposition actuel de 2 % sur la valeur totale de la cession, apportant stabilité et espoir pour aider le marché immobilier à se redresser progressivement après une longue période de stagnation.
Cette proposition avait auparavant suscité des réactions mitigées. Les experts et le marché craignaient que l'application du nouveau taux d'imposition ne provoque un choc politique, ne manque de fondement pratique et ne risque même de faire grimper les prix de l'immobilier. Cependant, le retrait de la proposition est considéré comme une bonne décision, démontrant que les décideurs politiques sont à l'écoute et ouverts à l'apprentissage.
La proposition de taxe de 20 % a reçu des réactions mitigées.
Le dénouement initial du « goulot d’étranglement » fiscal a créé un climat de confiance au sein de la population.
Selon les experts, dans le contexte actuel, le maintien du taux d'imposition à 2 % est raisonnable, ce qui laisse au marché le temps de se stabiliser et de se redresser. Cette décision a créé un sentiment positif, dynamisant les transactions et permettant la relance de nombreux projets de construction.
À long terme, le recours à des instruments fiscaux pour gérer le marché demeure nécessaire afin d'assurer un développement sain et de lutter contre la spéculation. Cependant, les experts économiques affirment que cette politique doit s'appuyer sur une feuille de route claire, synchronisée avec de nombreuses autres solutions, et ne doit être appliquée qu'au moment opportun, lorsque le marché aura véritablement retrouvé son dynamisme.
Les solutions synchrones proposées comprennent : la construction d’un système de tarification foncière proche des prix du marché, l’obligation de transactions par l’intermédiaire des banques pour plus de transparence, la promotion de la construction de logements sociaux et l’étude de l’application des taxes sur les résidences secondaires et tertiaires.
Avec près de 22 % des crédits bancaires en cours et une grande quantité d'argent provenant des citoyens se déversant dans l'immobilier, le dénouement initial du « goulot d'étranglement » fiscal a créé la confiance et l'espoir que le marché connaîtra une croissance plus durable et plus saine dans les temps à venir.
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Source : https://htv.com.vn/chua-danh-thue-thu-nhap-20-tien-lai-chuyen-nhuong-bat-dong-san-222250806134552997.htm
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