(NLDO) - La police provinciale préside et coordonne avec le Parquet populaire au niveau du district pour inspecter et vérifier les dénonciations préliminaires et les rapports de crimes par la police et les commissariats de police au niveau de la commune.
Le ministre de la Sécurité publique , le président du Parquet populaire suprême et le président de la Cour populaire suprême viennent de publier la circulaire conjointe n° 02/2025, réglementant la coordination entre les organismes compétents en matière de poursuites pénales, de gestion, de détention provisoire, d'emprisonnement provisoire et d'exécution des peines pénales en l'absence d'organisation policière de district. Cette circulaire entre en vigueur le 1er mars.
Les services de poursuite interviennent auprès des suspects. Photo d'illustration
La présente circulaire prévoit la coordination entre les autorités compétentes dans la réception et le traitement des informations sur les crimes, l'initiation, l'enquête, la poursuite et le jugement ; la gestion, la mise en œuvre de la détention temporaire, de l'emprisonnement temporaire et l'exécution des peines pénales lorsqu'il n'existe pas d'organisation policière au niveau du district, du comté, de la ville, de la cité ou de la ville.
En conséquence, la présente circulaire stipule l'autorité de recevoir et de traiter des informations sur les crimes, de poursuivre et d'enquêter sur les affaires criminelles de l'Agence d'enquête de la police provinciale, y compris :
- Recevoir et traiter les informations sur les crimes, poursuivre et enquêter sur les affaires pénales concernant les crimes spécifiés dans les chapitres XIV à XXIV du Code pénal lorsque ces crimes relèvent de la compétence du Tribunal populaire de district, à l'exception des crimes relevant de la compétence de l'Agence d'enquête du Parquet populaire suprême et de l'Agence d'enquête de sécurité de la Sécurité publique populaire.
- Recevoir et traiter les informations sur les crimes, poursuivre et enquêter sur les affaires criminelles concernant des crimes spécifiques survenant dans de nombreux districts, villes, villes sous provinces, villes sous villes gérées par le centre, crimes organisés ou crimes impliquant des éléments étrangers.
- Recevoir et traiter les informations sur les crimes, poursuivre et enquêter sur les affaires pénales relatives à des crimes spécifiques, lorsque ces crimes relèvent de la compétence du tribunal populaire provincial.
La circulaire stipule également que l'Agence d'enquête de la police provinciale présidera et coordonnera avec le Parquet populaire du district pour guider et inspecter la mise en œuvre de l'inspection et de la vérification préliminaire des dénonciations et des rapports de crimes par la police et les commissariats de police au niveau de la commune.
En particulier, la circulaire précise les devoirs et les pouvoirs de la police communale dans l’exécution des peines pénales, notamment :
- Superviser directement les personnes purgeant des peines avec sursis, des peines de réforme sans privation de liberté, des interdictions de séjour, des interdictions d'occuper des emplois, des interdictions d'exercer certaines professions ou certains emplois, des privations de certains droits civils ; gérer les personnes dont les peines d'emprisonnement sont ajournées ou suspendues temporairement, les personnes qui bénéficient d'une libération conditionnelle anticipée ; contrôler les personnes purgeant des peines de probation.
- Préparer des dossiers et signaler à l'organisme provincial d'application de la loi criminelle la découverte qu'un agent d'application de la loi criminelle de la communauté a enfreint la loi.
- Conseiller et assister le Comité populaire au niveau de la commune dans l'organisation de la mise en œuvre des tâches et des pouvoirs visant à éduquer les personnes purgeant des peines avec sursis, les personnes purgeant des peines de réforme non privatives de liberté, les personnes interdites de séjour, les personnes interdites d'occuper des postes, les personnes interdites d'exercer certaines professions ou certains emplois, les personnes privées de certains droits civils ; éduquer les personnes dont la peine de prison est ajournée ou temporairement suspendue, les personnes qui bénéficient d'une libération conditionnelle anticipée, les personnes purgeant des peines de probation.
Source : https://nld.com.vn/bo-cong-an-huyen-cong-an-xa-co-quyen-khoi-to-vu-an-khoi-to-bi-can-196250305082512374.htm
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