Si, pendant l'hospitalisation, le niveau des prestations est modifié, le patient est tenu de fournir les nouvelles informations de sa carte, et l'établissement médical doit vérifier et appliquer le nouveau niveau de prestations avant sa sortie. Ce règlement vise à garantir que les paiements de l'assurance maladie soient effectués intégralement et rapidement, conformément aux droits du patient. L'établissement d'examens et de soins médicaux est tenu de vérifier les prestations et le niveau des prestations de l'assuré avant la fin de l'examen médical, du traitement et la sortie.
Par rapport à avant, lorsque le décret 188 n'était pas disponible, les patients qui cherchent volontairement un traitement ambulatoire dans les hôpitaux provinciaux ou centraux (sans lettre de recommandation) ne verront pas leurs frais ambulatoires pris en charge par la Caisse d'assurance maladie, sauf dans certains cas de traitement d'urgence ou d'hospitalisation dans les hôpitaux centraux (par exemple, la Caisse d'assurance maladie ne prend en charge que 40 % des frais d'hospitalisation dans les hôpitaux centraux selon la loi sur l'assurance maladie de 2014). Cela signifie que les patients ambulatoires qui cherchent un traitement ambulatoire dans les hôpitaux provinciaux ou centraux doivent payer tous les frais eux-mêmes.

La nouvelle réglementation permet pour la première fois à l'assurance maladie de prendre en charge les frais de soins ambulatoires à hauteur de 50% ou 100% selon les cas, selon la feuille de route.
Le niveau 50 % signifie que la caisse d'assurance maladie paie la moitié des coûts dans le cadre de la prestation (par exemple, si la prestation est de 80 %, l'assurance maladie paie 40 %, le patient paie le reste).
Le niveau 100 % signifie que le fonds paie tous les frais selon le taux de prestation indiqué sur la carte d'assurance maladie.
Il s’agit d’un grand pas en avant : de 0 % auparavant, les patients ambulatoires qui se rendent au mauvais endroit sont désormais pris en charge à hauteur de 50 à 100 % du coût dans le cadre de la couverture d’assurance, réduisant ainsi l’écart de prestations entre les examens en ligne et hors ligne, se rapprochant ainsi de l’objectif d’une assurance maladie universelle équitable.
De plus, auparavant, le coût des examens à la demande n'était pas du tout pris en charge par l'assurance maladie. Les patients qui choisissaient le service demandé (par exemple, consulter un professeur ou se rendre dans un cabinet médical) devaient en payer la totalité eux-mêmes, l'assurance maladie ne prenant en charge que les services de la liste standard.
Désormais, la nouvelle réglementation permet à l'assurance maladie de prendre en charge une partie des coûts dans le cadre des prestations, même lors de l'examen des prestations.
Source : https://baonghean.vn/quy-dinh-muc-huong-va-thanh-toan-bao-hiem-y-te-khi-kham-chua-benh-ngoai-tru-10305318.html
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