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« Marque » d'entraîneur portugais

Báo Thanh niênBáo Thanh niên19/11/2024


LE MONDE ENTIER EST À LA RECHERCHE DU « NOUVEAU MOURINHO »

Les bons entraîneurs au palmarès aussi impressionnant que José Mourinho ne sont pas rares. La différence, c'est que lorsque Mourinho a atteint le sommet (il y a plus de 20 ans), il a laissé une impression profonde et exclusive. En revanche, le monde était sous le choc, chacun se demandant : « D'où vient cet entraîneur ? »

Mourinho lui-même a dû se vendre auprès de ses joueurs. Dès le premier jour de leur rencontre au centre d'entraînement, il a déclaré aux joueurs de l'União de Leiria Club (Portugal) : « Vous devez savoir que je suis très bon, mais personne ne me connaît encore. J'ai besoin de votre coopération. Celui qui croit et coopère vraiment pourra évoluer avec moi dans de grandes équipes prochainement. »

'Thương hiệu' HLV Bồ Đào Nha- Ảnh 1.

L'entraîneur Ruben Amorim devrait aider MU à se relancer.

Il n'a fallu qu'une seule saison à Mourinho au sein du petit club d'Uniao de Leiria pour se faire connaître du monde professionnel. Entré à Porto (Portugal), il a remporté tous les championnats, dont la Coupe UEFA et la Ligue des champions. Il a ensuite rejoint l'Angleterre et a immédiatement remporté le titre avec Chelsea, alors que cette équipe n'avait pas remporté de championnat national depuis un demi-siècle.

De nombreux autres entraîneurs ont connu le succès. Mais tous n'ont pas eu autant d'impact que Mourinho. Les équipes riches aspirent toutes au « nouveau Mourinho ». Chelsea a fait de même en recrutant André Villas-Boas. Jorge Jesus, Leonardo Jardim, Nuno Espírito, Marco Silva… ont progressivement affirmé leurs compétences. Progressivement, la « marque portugaise » s'est forgée dans le monde des entraîneurs.

Il n'y a pas si longtemps, des statistiques montraient que dans les 7 meilleurs championnats nationaux européens et dans la Pro League saoudienne, les entraîneurs portugais étaient la deuxième force la plus importante, juste derrière les entraîneurs espagnols (bien sûr, sans compter les entraîneurs natifs).

APPRENEZ TOUJOURS ET ESSAYEZ DE VOUS AMÉLIORER

Dans un excellent livre, un best-seller, coécrit par l'ancienne légende du football Gianluca Vialli et le célèbre journaliste Gabriel Marcotti, un chapitre est consacré au coaching. Les entraîneurs portugais comme Mourinho sont particulièrement avides d'apprendre. Ils sont passionnés et ne se contentent pas d'« apprendre le métier ». Au contraire, si vous interrogez un célèbre entraîneur anglais sur les formations d'entraîneur standard de la FIFA et de l'UEFA, vous entendrez une réponse familière : « Pourquoi étudier ? Nous avons gagné la Coupe du monde, donc nous n'avons pas besoin d'étudier ! ». C'est là toute la différence entre les écoles de football.

Ruben Amorim a au moins réussi au football (il a été coéquipier de Cristiano Ronaldo lors de deux Coupes du monde). Les autres, de Mourinho à Villas-Boas en passant par Marco Silva et Paulo Fonseca… n’ont pratiquement jamais joué au plus haut niveau (ou, s’ils y sont parvenus, ils ont échoué dans leur carrière). Ils n’ont aucune expérience sur laquelle s’appuyer, alors ils s’efforcent encore plus d’apprendre. En revanche, les entraîneurs « formés » au Portugal sont souvent très actifs pour promouvoir la créativité, imposant leurs propres idées et points de vue. C’est une façon très différente d’entraîner par rapport au parcours « traditionnel » des entraîneurs issus du football professionnel : il suffit de bien jouer au football, puis, une fois les crampons raccrochés, d’entraîner… comme ils ont été formés.

Le Portugal est un pays de football spécialisé dans l'exportation de joueurs. Même les plus grands clubs comme Porto ou Benfica ne parviennent pas à conserver leurs stars, sans parler des petites équipes. Les entraîneurs portugais doivent faire de leur mieux, car ils ne disposent jamais d'un effectif satisfaisant. Dès qu'une star est établie, elle part. Les circonstances difficiles rendent les entraîneurs portugais très doués en tactique et en solutions créatives.

Enfin, en Europe occidentale, le Portugal est un pays pauvre. Si un enfant pauvre veut changer de vie, il devrait jouer au football. S'il n'est pas assez bon pour jouer au football, il devrait étudier pour devenir un bon entraîneur !



Source : https://thanhnien.vn/thuong-hieu-hlv-bo-dao-nha-185241119201625706.htm

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