« On nous a abandonnés – Votez maintenant ! » pouvait-on lire sur une pancarte brandie au-dessus de la foule. Les manifestants criaient dans des mégaphones, agitaient des drapeaux et frappaient des tambours tandis que la police montait la garde aux barricades.
Des manifestants manifestent devant la résidence du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Jérusalem, le 27 juin 2024. Photo : REUTERS/Ronen Zvulun
Ces manifestations sont devenues plus fréquentes alors que la guerre contre le Hamas à Gaza et les combats avec le Hezbollah au Liban menacent de s’intensifier.
De nombreux manifestants ont également scandé des slogans en faveur d'un accord visant à libérer environ 120 otages israéliens détenus par le groupe islamiste militant Hamas à Gaza.
Au coucher du soleil, les manifestants ont bloqué la circulation et allumé un grand feu de joie dans une rue du centre de Jérusalem. Cependant, aucune échauffourée majeure n'a été signalée et la police n'a pas utilisé de canons à eau pour contenir la foule, contrairement à ce qu'elle avait fait lors de précédentes manifestations plus violentes.
Le 17 juin, des milliers de manifestants contre le gouvernement du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu sont également descendus dans les rues de Jérusalem, affrontant la police près de son domicile et réclamant des élections anticipées.
Hong Hanh (selon Reuters)
Source : https://www.congluan.vn/nguoi-bieu-tinh-israel-lai-keo-den-nha-thu-tuong-netanyahu-yeu-cau-ong-tu-chuc-post301378.html
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